Franck Bleuzen, le bleu de l’Art
Connaissez vous les peintures de Franck Bleuzen ou l’ampleur désastreuse de son œuvre picturale et poussive ? Non, fort heureusement pour vous et vous ne loupez rien puisque son travail ne gagne ni à être connu, ni encore moins à être reconnu. Pourquoi en parler alors ? Pour dénoncer la supercherie, pour montrer que nous sommes pas dupes des faux talents et de leur monde of colours si terne et fat.
Il y a les artisans travailleurs et inspirés et puis il y a les arnaqueurs professionnels qui sous couvert d’une vitrine clinquante présentent le degré zéro de la création. Les diarrhées gribouilleuses de Bleuzen en sont le plus bel exemple. Explications.
Le net regorge de faux artistes autoproclamés et Frank n’a rien à leur envier. Au royaume de l’abstraction convenue sans grande envergure, de la grossièreté du trait, Bleuzen est un King, un roi de l’à peu près et du niais qui ne se remettra jamais en questions. Les toiles du maître en herbe semblent pouvoir se succéder indéfiniment sans jamais réellement attirer l’attention, sans aucune sorte émotion ni œil admirable. On cherche désespérément l’âme, la passion ou la fameuse « french touch » tant promise sur son site web ou dans ses vomis arc en ciel. Le geste est lamentablement monotone, la patte enfantine est mal assurée, les formats bien trop souvent étriqués, et la démarche indéfinissable et non identifiable car nulle et non avenue.
Seuls les tarifs des tableaux affichés atteignent finalement quelques sommets... Les visions impuissantes de Franck Bleuzen étant par essence des œuvres de pure décoration, nul doute que de temps à autres, quelques fins non amateurs doivent se laisser tenter. Il faut condamner ces achats de complaisance qui risquent de conforter notre peintre du dimanche dans sa médiocrité joyeuse.
Alors disons-le tout net, les toiles de Franck Bleuzen sont une arnaque monumentale, un foutage de gueule contemporain qui n’ont pas de respect pour les amateurs d’art. Donner des prix aussi exorbitants à un tel ramassis de mauvais goût est un acte prétentieux et imbécile totalement injustifiable. La seule solution à l’énigme Bleuzen est peut être de se demander si cette plongée dans les précipices de l’art n’est pas en soi un concept. Et dans le fond c’est peut-être là sa démarche exacte. Si c’est ainsi je tire définitivement mon chapeau à l’ami Franck. Peindre en s’imaginant avoir le sens artistique d’un gamin de trois ans est une expérience singulière qu’il réussit totalement. Chapeau bas cher maître en culotte courte !
Le talent ne s’achète pas Monsieur Franck Bleuzen l’entrepreneur. Personne n’est dupe
Nous tenons à préciser que suite à la publication de cet article, le courrier électronique de notre journaliste a été spamé de manière obsessionnelle et pathétiquement lâche par le dénommé Frank Bleuzen.