J’me présente, mon nom est Jean-Claude Roméra

J'me présente, mon nom est Jean-Claude Roméra

J’me présente, mon nom est Jean-Claude Roméra.
Situation actuelle : Inventeur de noms de sociétés, écrivain.
Jusqu’à l’adolescence je fus un enfant solitaire, rêveur, j’imaginais être divers personnages, me racontais des histoires.

Influences littéraire : Romans tous genres. Je suis sensible à la forme littérale.
Bibliographie : Livres d’humour, d’histoire, romans. Actuellement je travaille à l’élaboration d’un livre destiné à la jeunesse. Il me plaît d’explorer divers aspects d’écriture. J’apporte de la méticulosité à mes textes, à telle enseigne que mon éditeur me qualifie de coupeur de mots en quatre.

Depuis de nombreuses années, je lis journellement la définition d’un grand nombre de mots du dictionnaire. J’ai l’impression de ne pas retenir grand-chose, cependant, lorsque j’écris, des mots peu usités me reviennent, et si quelquefois leur définition m’échappe, le sens est très souvent exact. Lorsque j’exerçais ma profession de chef d’agence, devoir rédiger un rapport, ne me rebutais nullement, cela me plaisait plutôt. Durant mes loisirs, je composais un journal d’entreprise. Je glissais, à la dernière page du journal, une nouvelle de ma composition en rapport avec un thème sociétal. J’ai publié mon premier livre en 2007, depuis d’autres ont suivi.

À présent je me plonge pareillement dans la lecture du Grevisse (le français correct) dans le Larousse des règles à connaître (Dictionnaire des difficultés de la langue française) etc. J’ai conscience que mon orthographe et ma ponctuation sont perfectibles. Certes, le correcteur (trice) de l’éditeur effectue les retouches nécessaires.


Il n’empêche. Je n’écris jamais le matin, encore moins la nuit. Les jours où je rédige, je m’installe devant mon ordinateur vers 13h30/14h et ne le referme qu’à 20 h. Je consacre autant de temps à retravailler un livre qu’à l’écrire. Je m’applique à fluidifier ma prose, aidé en cela par ma phobie du mot juste.

Selon votre serviteur, le relâchement lexical est une blessure culturelle. Je considère que la littérature est un garde fou entre le langage courant et la forme correcte.

Blog : http://des-livres-et-vous.over-blog.fr