Hostellerie Gilain à Liroux en Belgique

Hostellerie Gilain à Liroux en Belgique

Quitter Paris, pour se retrouver sur les hauteurs de Dinant en Belgique, est non seulement un vrai bonheur mais également un art de vivre ailleurs et de décrocher, ne serait-ce que deux ou trois jours.

C’est à l’Hostellerie Gilain que je retrouvais enfin mes amis, pour un authentique partage, un moment exceptionnel de convivialité dans la joie et les rires, autour d’une belle et bonne Table.

Ici la cuisine est bonne, le service raffiné, la table bien dressée et l’endroit feutré.
Comme il faisait beau, c’est donc en terrasse que nous décidions unanimement de nous installer pour un apéritif gourmand, avant de passer à table.

Le Chef Alain Gilain cuisine à l’instinct et surtout avec son cœur. Tout est fait en cuisine, même le pain et les mignardises. Les saveurs exceptionnelles viennent d’un vrai savoir-faire à partir de produits locaux.

Tout ici est savoureux, de l’entrée au dessert et l’on s’occupe bien de vous, sous l’œil attentif voire bienveillant de Madame Gilain.

Le savoir-vivre à la belge est un pur délice et certains restaurants français feraient bien de s’en inspirer car le client attend d’être agréablement surpris, tant par le service que par ce qu’il a dans son assiette.

De la haute gastronomie avec le sourire, la générosité, l’ouverture d’esprit et le respect. Ici, Chez Gilain, on a le temps de prendre son temps, tout en se délectant.
Nous décidons d’opter, à l’unanimité, pour un menu « Fin Bec » comprenant :
Deux entrées de poissons dont :

Des filets de solette saveurs estivales et panna cotta d’aubergine, vinaigrette de salicornes.

La sébaste rôtie basilic-tomates fraîches et ail rôti.

Le plat de résistance est composé d’un duo de dodine de caille et foie d’oie sur pêche caramélisée et pain perdu brioché.

Enfin arrive le carembert de Jambjoule (sorte de camembert carré) sur sa salade croquante au coulis de « pas de bleu » et pomme verte ou bien le dessert qui est un marshmallow aux mûres et groseilles rouges.