C’est un peu comme si on entendait le monde à un volume beaucoup beaucoup plus fort.

Il y a les fous, il y a les fragiles, il y a les ultra-sensibles, il y a les gens très fortement influençables, il y a les pervers, il y a les violents latents qui n’attendent que cela pour en découdre et puis il y a Nous qui avons la responsabilité d’aider, d’apaiser toutes ces bombes à retardement.

Un seul mot d’ordre pour ce pays qui a mal et a peur : amour tolérance, compréhension, douceur et dialogue(s).

Pas obligé de mettre "’Je Suis Charlie" partout pour se donner pour conscience ou d’aller marcher Dimanche mais un travail que chacun peut faire à son niveau avec sa sensibilité propre, dans l’intelligence et le respect.