FREDERIC VIGNALE : DROIT DE REPONSE AU SITE RING

FREDERIC VIGNALE : DROIT DE REPONSE AU SITE RING

Depuis plusieurs années, le site RING publie sur ses pages virtuelles et sur son forum une série d’articles ou commentaires mensongers, fantaisistes ou haineux mettant en cause l’honneur, la réputation et l’intégrité de Frédéric VIGNALE, fondateur du Journal Le Mague depuis le 1 er Janvier 2003. Il met également en lien sur ces pages des articles anonymes improbables, calomnieux et diffamants le concernant venant du blog " La catastrophe Internationale", mouvance de l’extrême droite française.

Depuis septembre 2013, les attaques ont redoublé d’intensité et dépassent désormais le cadre de la diffamation, de la calomnie et des injures publiques, présentes jusque là, puisqu’il s’agit désormais de "Dénonciations calomnieuses et imaginaires". (voir le forum sous l’article concernant Frédéric Vignale)

Sur les conseils de son avocate, Frédéric VIGNALE a donc décidé de porter plainte au Pénal contre ce site. Les gens qui douteraient encore, malgré l’acharnement de ce site, de la probité de Frédéric VIGNALE peuvent prendre contact avec notre Rédaction pour recevoir l’assurance, documents à l’appui, de la bonne foi de ce dernier.

Frédéric VIGNALE et la Rédaction du Mague se situent à l’opposé des idées, des pensées et des actions véhiculées par le site RING. Ils sont en désaccord idéologique et politique total avec cette entité.

Frédéric VIGNALE n’a jamais été condamné au Pénal malgré les sous-entendus du site RING (rappelons par exemple que seules les condamnations au pénal peuvent être inscrites sur un casier judiciaire et pas celles au Civil) et entend, désormais, faire valoir ses Droits et défendre publiquement sa présomption d’innocence.

Toute personne qui continuera donc à propager des rumeurs ou des faits diffamatoires, inspirés des allégations mensongères reprises sur ce site ou d’ailleurs se verra, également, poursuivi.

http://www.fredericvignale.com

http://www.apc.org/fr/pubs/issue/comment-eviter-de-devenir-victime-de-harcelement-e