Valérie Trierweiler, c’est juste la dame de cœur qui pique et qui est prête à tout pour se voir encore quelques temps en haut de l’affiche, avant que celle-ci ne se décolle pour mieux tomber lourdement dans les oubliettes.

Comment François Hollande, homme sympathique doté d’humour, fait-il pour supporter cette mégère à peine apprivoisée ? C’est sûrement le secret de cette réincarnation, encore plus influente que jamais, de Lucrèce Borgia !

La détestable Valérie, que certains journalistes se plaisent à dépeindre comme étant la première dame de France, se prendrait-elle pour la présidente, en s’octroyant des droits qu’elle n’a pas, dont surtout ceux d’être grossière, méprisante et insultante envers le magazine pour lequel elle travaille toujours par correspondance.

Pourtant, aux yeux de la loi, elle n’est rien d’autre que la compagne illégitime d’un homme plus accroché au mariage pour tous qu’au mariage pour lui. On peut d’ailleurs le comprendre, parce que si la dame offre une image physique acceptable, elle n’est certainement pas à la hauteur de ses espérances et il y a fort à parier que cette liaison dangereuse ne durera pas.

Selon le journal « Le Canard Enchaîné », la sorcière bien aimée du Président aurait insulté Paris-Match qui abrite ses papiers, en traitant l’hebdomadaire de « journal de merde », suite à un reportage sur « sa parenthèse amoureuse » avec le Chef de l’Etat.

Il ne fait pas bon se trouver sur le passage de ce « dragon » qui souffle le chaud et le froid, dans les coulisses du pouvoir.

Ce manque évident de classe, de retenue, de politesse et de savoir-vivre de l’arriviste Valérie, nous fait déjà regretter la très distinguée et jolie Ségolène Royal dont la parfaite éducation ne pouvait être remise en doute.

Comme aurait pu le déclarer, Arnaud Montebourg, le spécialiste des petites phrases assassines : « François Hollande n’a qu’un seul défaut… C’est sa compagne ! »