Christophe Gerbeau, le maçon franc

Christophe Gerbeau, le maçon franc

Il aurait pu être l’héritier de Francis Bouygues, tellement il a le virus de la construction dans le sang, mais sa grande fierté est d’être le fils de Pierrette Bourgeois et de Alain Gerbeau.

Vaillant sanglier il est, et Ardennais il restera.
Tout comme cet animal, emblème de cette rude et belle terre des Ardennes Françaises, Christophe Gerbeau est fort et robuste, le regard franc et le comportement loyal, il n’a peur de rien et surtout pas de travailler. Il fonce dans sa vie professionnelle et ne s’arrête jamais.
Il a le goût des belles choses et du travail bien fait. C’est un perfectionniste ayant la passion de son dur métier de maçon qu’il exerce depuis de nombreuses années.

Infatigable, tout en travaillant le ciment et en montant les parpaings dans la journée, il aide ses parents au café à Fumay ou au night-club Le Charli’z en Belgique, dans les années 90.

Sportif de haut niveau, il a également mis le Judo Ardennais à l’honneur en étant un combattant redouté sur les tatamis départementaux, régionaux et nationaux. Il a également pratiqué la boxe.

Cependant l’appel du béton restera le plus fort et ne lui laissera que peu de temps pour ses loisirs.

C’est en l’an 2000 qu’il a l’audace et le courage de créer sa propre entreprise, dans sa région d’origine pourtant défavorisée au niveau de l’emploi.
Chef d’entreprise jeune et dynamique, Christophe Gerbeau a relevé le défi de réussir.

Depuis plus de dix ans, il dirige une équipe capable de réaliser tous les travaux liés à la construction d’une maison d’habitation et sa longévité, dans cette activité, reste la plus belle preuve de son sérieux et de son savoir-faire.
Christophe Gerbeau est l’exemple même qu’avec la volonté, on arrive à tout.
Les métiers du bâtiment offrent de nombreux emplois qui ne sont pas pourvus, peut-être parce qu’il faut se lever tôt et affronter des conditions de travail ou climatiques difficiles, mais on n’a rien sans rien !

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