Quand est-ce qu’on pique le troupeau dévot ?

Quand est-ce qu'on pique le troupeau dévot ?

Pour une banale grippette A / H1N1 modérée qui risquerait de gripper l’appareil étatique, des mesures liberticides basées sur la peur et le bourrage de crâne sont envisagées au nom de la santé publique de s’en fiche plein les fouilles, quitte à aussi opérer dans l’indifférence générale un semblant de « génocide » de la population !

Quelques antécédents de l’hépatite B, au demeurant, sa vaccination n’était associée à aucun effet secondaire. Résultat : on est passé de 25 000 à 85 000 cas de scléroses en plaques déclarées en France. A côté de la cirrhose, ce n’est pas encore l’overdose, certes…..

La grippe A / H1 N1 et son battage médiatique, on ne peut pas lui échapper. Les personnes qui s’activent à marcher masquées sont considérées comme des pestiférés. Notre cher président omniscient a eu le génie intuitif qu’on lui connaît de signer au Mexique, pays foyer de la pandémie, un contrat d’investissement d’un montant de 100 millions d’euros, le 9 mars 2009 afin de construire une usine de fabrication de vaccins contre la grippe.

Seulement mon adjuvant a eu bon vent d’y rajouter sa dose de squalène dans notre fameux vaccin, dans une proportion d’un million de fois plus importante, que celle déjà utilisée par les GI’s injectés contre l’anthrax. Si bien que 25%, soit 180 000 de ces braves soldats ont été reconnus atteints par le syndrome de la première guerre du golfe par la chambre des Représentants.

Dans le cocktail pas Molotov mais tout autant explosif, que nous propose ce divin vaccin H1 haine 1 des populations, éprouvettes éprouvées du parfait cobaye, imaginez un savant fou qui mélangerait deux souches de la grippe porcine, deux souches de la grippe aviaire et une souche de la grippe humaine. Secouez le tout et injectez en ayant préalablement rajouté une dose de mercure, aluminium et squalène. BOUM !

Ca me rappelle les premières armes bactériologiques qui subrepticement se seraient ingérées dans le conglomérat de la politique de vaccination très poussée. La mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, c’est la camarde qui bat le rappel des troupes ! Les adjuvants auront œuvré la sape en mettant k.o le système immunitaire. Mais pas de panique, Monsieur Tamiflu est votre nouvel allié. Il veillera au groin. Non seulement, ce porc s’est révélé comme un antiviral inefficace, mais en plus ce médicament miracle provoque de nombreux désordres psychologiques et neuronaux pouvant aller jusqu’à provoquer des suicides chez ses nouveaux drogués de la santé.

Mais rassurez-vous, les prochaines imminentes victimes de la vaccination visées sur l’hôtel du profit considérable des compagnies pharmaceutiques seront les femmes enceintes et les enfants d’abord. Toute une génération sacrifiée ! Alors que d’habitude, c’est papi et mamie à qui on propose la piquouze salvatrice et au feu l’avarice. Etonnant non ?

Mais alors pourquoi un tel sacrifice ? La crise sociale et ses ressorts des révoltes, des émeutes prévisibles de la faim et des sans toits par celles et ceux qui n’ont plus rien à perdre, la vaccination, c’est l’éteignoir sans se salir les mains sales.

La grippe, c’est la peur dans les consciences éteintes, de l’appropriation de la pulsion de mort pour toute la population. C’est le ressert boulon de la solidarité familiale autour des grippés du système social. Seulement, le système étatique ne l’entend pas de ce bâton. Si l’activité économique pauvre au demeurant refuse de s’emballer pour tourner coûte que coûte au profit des maréchaux d’industrie, c’est la faillite en Suisse !

Alors pourquoi, au nom de la salubrité publique ne pas imposer un piquage en règle de tout le troupeau des veaux bien obéissants ? Au préalable, l’état providence aura mis au point au nom du maintien à tout prix du niveau d’activité maximal, quelques règles contraires aux droits élémentaires du travail. Ainsi la circulaire du Ministère du travail dgt 2009 / 16 demande à l’administration du travail « de faire preuve de souplesse ». Ce qui suppose explicitement de mettre en exergue certaines obligations du droit du travail jugées comme pouvant opérer un ralentissement de l’activité des valides. Ainsi par exemple, cette circulaire remet en question le droit de retrait qui ne pourrait être invoqué en cas de grippe A.

C’est le premier cheval de bataille au galop du train de mesures liberticides après déjà la loi de service minimum oblitérant au passage l’exercice du droit de grève, avant la piquouze de rappel des éprouvés du boulot et des sans boulot fixe.

La grippe A / H1 Haine 1, c’est la panacée du système, c’est la bouée crevée sur le navire qui chavire avec à son bord des crève la vie à perdre leur existence à la gagner. C’est le nec le plus ultra au pays des carabins qui distillent leurs vérités mortifères et la fièvre du microbe mirobolant, bornant manant

Demain toutes et tous junkies du vaccin A / H1 Haine 1. Vous reprendrez bien une dose au dessert au nom de la paix sociale ?