J’ai abattu deux femmes dans le désert du Nevada !

Sans rire ! Oui, vous lisez bien, j’ai flingué deux femmes dans le Nevada et elles aimaient ça, les coquines … Faut dire que l’on s’est bien amusé ce jour-là, et que certaines ont même réussi à nous filer entre les pattes …
Récit.

Par une belle matinée d’été ensoleillé typiquement américain, c’est-à-dire un soleil de plomb qui glace les yeux sur le vernis du ciel, bleu comme jamais sur les strates millénaires du désert, non loin gronde la mégapole de Las Vegas et quelques arbres se battent contre le vent de sable.

Je retrouve mes copains de battue dans le chalet pour un breakfast copieux, la journée sera longue, il faut charger la bête. Les hommes sont déjà en tenue de combat, pantalons et vestes de camouflages, la casquette vissée sur la tête même à six heures du mat …
Ils sont venus d’Australie, de Nouvelle-Zélande, du Venezuela, mais je suis le premier européen à avoir osé claqué dix mille dollars (la moitié défrayée par Le Mague, quand même !) pour trois jours de chasse aux « Bambi ». Les filles nous rejoignent dans de grands éclats de rire. Elles aussi doivent manger copieusement, leur journée sera encore plus dure que la nôtre : ce sont elles les gibiers.

A sept heures tapantes elles se lèvent d’un bond et filent par la porte. On leur donne une demi-heure d’avance. Intrigué je glisse un œil par la fenêtre, petit veinard je mâte alors un superbe fessier qui n’a pas un gramme de graisse ni de peau d’orange, à côté une autre « Bambi » s’effeuille et me montre ses seins généreux qui dansent déjà sous le soleil, ici ce sont des cuisses longilignes qui s’élancent vers leur destin. Ainsi les « Bambi » iront nues, portant juste des tennis aux pieds et rien d’autre. Harry me rappelle d’un ton sec et nous redonne une nouvelle fois les consignes en nous tentant notre fusil à balles de peinture : ne jamais tirer au-dessus de la poitrine, ne jamais faire feu à bout portant, ne pas s’acharner sur une créature déjà touchée.
On s’en grille une sur la véranda dans un style très cow-boy de Marlboro, les esprits s’échauffent, le comte à rebours égrainent le sable du métronome, d’ici quelques minutes les fauves seront lâchés.

J’en ai eu deux. Julia et Logan. Tirées à trente mètres dans le dos pour la première qui se croyait à l’abri derrière un bosquet sis au sommet d’une butte, shootée en plein ventre à la sortie d’un petit dédale près du cours d’eau pour Logan, qui hurla de peur en me voyant avant d’éclater de rire en se retrouvant toute jaune de peinture. Je les ai aidées à se laver dans le petit ruisseau et nous sommes rentrés boire une bière dans mon lodge, en attendant que le boss m’apporte le DVD de mes exploits.

Julia et Logan ne gagnèrent que mille dollars ce jour-là, mais elles ne m’en ont pas tenu rigueur : c’était la première fois qu’elles se faisaient tirer par un français, leur réputation n’en serait pas entachée, si j’ose dire. Par contre, Elaine et Shawna furent traitées en reine à leur retour, elles avaient échappé à tous les chasseurs et purent ainsi empocher 2500 dollars … et aller se rhabiller.

Devant le succès de l’affaire les plaintes commencent à fleurir, les féministes bornées trouvent à y redire. Moi non. Tout le monde s’amuse, tout le monde est consentant et la prime est alléchante. A tel point que je me suis porté volontaire pour être le gibier dans la version gay qui verra le jour d’ici quelques mois. Jouer à cache-cache nu dans la forêt pour 1000 dollars voire 2500 si je m’en sors je ne vois pas ce qu’il y a de choquant …
Que faisions-nous gosses dans les camps scouts ou entre cousins pendant les grandes vacances ? On se faisait la guerre à coups de bâtons ou de pierres, on se faisait mal parfois, on se battait entre filles et garçons, on se pelotait aussi et même plus selon les âges ; et les parents trouvaient cela très reposant, de ne pas nous avoir sur le dos toute la journée. Maintenant que nous sommes adultes, on ne pourrait plus continuer à jouer à nos « jeux idiots d’humains attardés » ? Quelle hypocrisie ! Je préfère voir les mâles se défouler ainsi que de les savoir rôder autour de mes enfants ou dans des bordels mal famés ; pas vous ?

Si l’envie vous titille, vous aurez tous les renseignements sur le web.
www.huntingformambi.com étant momentanément en train de changer de serveur, je vous donne son adresse IP qui, fonctionne : http://66.226.85.62/index.html

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