Droit de réponse à l’ultime « nabiste »

Droit de réponse à l'ultime « nabiste »

On vient de m’indiquer une petite brève écrite avec les pieds au mois de février 2007 par le « webmünster » nabien - dont le style a comme un arrière goût - et qui semble me concerner sur le « site » vieillot consacré à l’écrivain marseillais exilé à Paris dans le Quinzième arrondissement houellebecquien : Alain Zannini dit Marc-Edouard Nabe dit « J’ aimerais-être-partout-dans-vos-gazettes-et-comme-c‘est-pas-le-cas-je-l‘ai-mauvaise » .

J’avoue que je ne fréquente pas ce rendez-vous incontournable de la toile construit en bon html version 1997 avec un chartre graphique digne du meilleur site de la catégorie « onanisme et littérature des bas fond ». Vous savez j’ai mes propres lieux d’aisance de « Rastignac aux petits pieds » et j’ai toujours préféré sentir mon propre caca que celui - moins drôle et sympatoche - d’un pseudo valet nabiste qui tente de briller auprès de son maître avec des mots mal écrits et une verve si pauvre en pertinence, brillance et panache que c‘en est presque triste et pathétique pour son « zauteur » avec un z comme zéro et petit « zizi » .

Ce minuscule paragraphe à ma Gloire - arrêtez c’est trop d’honneur ça risque de multiplier par dix ma si petite notoriété virtuelle - annonce la sortie de mon livre « Les censurés de la télé », Editions Le Bord de L’eau, 15 euros, Préface de Gilbert Collard avec David Di Nota, Karl Zéro, Philippe Di Folco Morandini, Tristan-Edern Vaquette, Corbier, Marcel Amont, Bertrand Cantat et plein de gens marrants… qui luttent avec moi pour une télé plus « vignalique » . (mot valise qui marie « Vignale » et « télégénique » )

Puis en suite, il y a une interminable et confuse assertion sur mon ingratitude, une allusion physique à des corps gras, une critique Nrv de mon sens inné du « reseautage » parisien et encore une autre sur ma soit-disant homosexualité qui m’aurait faire gravir des échelons « énaurme » dans ma « carrière ».

Je rassure tout de suite l’auteur de ces lignes et son gourou aigri, je n’ai pas réussi la moindre carrière en 7 ans de fréquentation aléatoire du pavé parisien et si j’ai quelques kilo de trop ils me vont à ravir d’après ma femme car ça me donne un côté nounours sexy (…). De plus je suis dramatiquement hétérosexuel et ce n’est ni le cheveu rare ni le nabisme masculins qui peuvent faire frétiller ma vigoureuse queue vignalesque.
Quant à mon ingratitude, que ce soit clair, je ne dois RIEN à Marc-Edouard Nabe ni à personne car je me suis fait tout seul et je n’ai aucun chef spirituel, littéraire ou dogmatique à part Gérard Oberlé que j’admire, Michel Polac à qui j’emprunte le nom de son émission pour ce post, Michel-Edouard Leclerc (car lui c’est son vrai nom) et surtout Yann Moix qui est mon seul et véritable parrain et accélérateur de notoriété dans le monde impitoyable de Lettres orléanaises à Paname.

Pour ce qui est de Marc-Edouard Nabe, je le connais à peine, je le croise parfois chez lui le 11 septembre 2001, chez Basile de Koch au Banana Café, à l’anniversaire de Brigitte Bardot ou encore au Drogstore Publicis lorsqu’il prend le thé comme un vieille rombière médisante avec Paul-Eric Blanrue.

A part cela ce que je préfère chez lui c’est son ex-femme la délicieuse Hélène Hottiaux, ses derniers dessins - en espérant qu’il me tire le portrait bientôt car une fois j’ai été dans une boîte de Jazz avec Marcel Zannini au « Petit Journal » et sa rancune tenace et injustifiée à mon égard. Marc-Edouard oublie moi je suis perdu pour la cause je préfère Di Nota, Albert Algoud, Raphaël Judlé et des tas d’autres renégats… ils « embrasent » mieux !

Tout le reste, je vous assure que je m’en bats le coquillard des censurés professionnels, des malheureux de l’ego et des pd fight-club ber et autres « crève-la-nique » et cas sociopathes, tout ça cela me passe au-dessus. Oubliez moi. Désolé les gars.