"Chabot" bas Arlette Chabot !

"Chabot" bas Arlette Chabot !

D’abord il y a sa silhouette, longiligne et droite, impeccable qui n’est pas sans nous rappeler de grands hommes et femmes du siècle, des figures politiques, bien entendu, une sorte de fusion physique étrange entre Margaret Tatcher et le général De Gaulle.

Le site de "Mots croisés" d’Arlette Chabot

Et puis, il y a cette voix, cette détermination de tous les instants, ce sérieux et cette rigueur intrinsèques que la dame de savoir-faire balade à longueur d’émissions politiques du service public. Ce charisme non agressif, ce calme olympien, cette mesure des choses. Arlette Chabot n’est jamais chienne ou mesquine, ne fait jamais le cabot dans l’arène de l’info, Arlette est la femme que le monde des médias attendait, une Jeanne d’Arc incorruptible qui donnerait des leçons de déontologie à un poulpe savant, en mer du nord.

Arlette Chabot, c’est la probité faite femme, la garantie d’un travail toujours égal, pertinent, régulier et sobre. Contrairement à la plupart de ses collègues et surtout dans la gent féminine, elle ne cherche pas à plaire. Arlette c’est l’anti tape-à-l’oeil d’une Claire Chazal. Elle est professionnelle jusqu’au bout des ongles sans sourire hypocrite de part et d’autre. Arlette nous prouve que c’est possible, que l’on peut bien faire son métier sans mégalo ni narcissisme. Avec elle en prime time pour des spéciales Election, on se plaît à croire en une information moins partisane. Arlette fait sourire parfois les observateurs car elle est différente, gageons que cette particularité faite d’honnêteté et cette sincérité soit un modèle à suivre pour les jeunes générations de journalistes en tous genres.

Tout le monde connaît le visage et le nom de la politologue de France 2, c’est la deuxième Arlette la plus connue de France et peut-être du monde. Et pourtant on ne sait rien d’elle, on ne le crois jamais dans les dîners mondais ou les pages des journaux People.

Voilà Arlette, nous, on ne se connaît pas professionnellement, ni personnellement, du moins pas encore, mais je vous dis chapeau bas pour tous ce travail qui ne me laisse pas indifférent et qui se voit véritablement à l’écran. Je veux croire que les téléspectateurs ne sont pas dupes, que votre côté d’amour va encore augmenter et que l’on vous nommera un jour responsable de l’information sur la deuxième chaîne ou même ministre de la communication. J’en parlerai à qui de droit, j’ai le bras long, comme vous vous en doutez bien.

Je ne sais pas bien comment finir ce modeste compliment que je fais à vôtre sympathique endroit. Vous avez mon e-mail, mon portable. Ma secrétaire se chargera de me faire prévenir vos réactions si vous trouvez ces quelques mots malhabiles en forme d’admiration dévouée, dignes d’une réponse.

Vivement les prochaines élections, si cela ne tenait qu’à moi c’est votre nom et votre prénom que je mettrais dans l’urne. Ce n’est qu’un fantasme, je sais, mais parfois la réalité dépasse la fiction, vous le savez bien !
Les femmes de poigne, honnêtes et compétentes comme vous, ne sont pas légion et c’est bien là le problème de notre démocratie !