Où Justine drague en direct

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J’ai tenté un truc qui m’amuse beaucoup. Je viens de rencontrer Luc DS parce que j’adorais l’idée de rencontrer un mort-vivant (il s’est donné la mort le 14 Juillet 2005).

Il n’arrêtait pas d’être méchant avec moi (bouhouhouhouhou) et, comme je suis une gentille petite fille fragile (quoi ?), je ne comprenais pas pourquoi (c’est vrai ça, pourquoi tant de haine ?).

En plus il m’écrivait des lettres publiques incompréhensibles et je me demandais s’il me fallait vraiment une teinture brune pour commencer à entrevoir le sens de ses mots.

Comme c’est un artiste aux multiples facettes qui brille par ses divers talents aussi bien musicaux (bon courage pour l’Olympia [1] !) que graphiques, j’ai tenté la rencontre. (Si vous n’êtes pas un artiste aux multiples facettes, même pas la peine de m’écrire des méchancetés).

La déception fut à son comble lorsqu’il a fait mine de ne pas me sauter dessus. Il a paru lâchement indifférent à mes formes avantageuses (quoiqu’en dise notre bien aimé fondateur du Mague, Frédéric Vignale), à mon regard perçant et à mon humour à peine un peu lourd.

Il a malgré tout apprécié ma blague préférée (qui est je le rappelle au cas où vous l’ignoreriez : "Pourquoi les femmes ne savent pas faire un créneau ?".

Réponse "Parce qu’on leur a toujours dit que ça (montrez alors un espace de la taille d’une main ou de tout autre chose que vous concevrez qui ne soit pas trop long) mesure 30 centimètres."). Merci Luc d’avoir rigolé un peu.

A l’heure qu’il est, il feint l’indifférence totale à mon charme ravageur. Je suis dévastée. Chers lecteurs... Aidez-moi... Que dois-je faire ?

J’M.

J’M.