Pourquoi je n’aime pas Maïa Mazaurette !

Pourquoi je n'aime pas Maïa Mazaurette !

Qu’est-ce que ce microcosme in et branché parisien peut être emmerdant. Voilà qu’on instaure le terme « frais et caustique » à la moindre occasion ou l’un des membres de cette secte du « in » pisse trois phrases convenues.
Chacun-chacune, narcissique au possible, recherche la lumière et la couverture de Technikart ou d’un autre journal qui est la Tendance, mais qui ne se vend pas. Ce qui prouve qu’il est « Tendance ».

Je crois encore préférer le populiste graveleux au chic et chèr de ces épiphénomènes. Avec deux sous de jugeotte on se rend compte qu’ils n’apportent rien qu’une belle gueule, qu’un teint frais non marqué encore par l’âge de la cessation d’activité. Ils viennent, ils s’installent et disparaissent.

Temps de présence entre 2 et 3 mois maximum. Ce n’est pas tant ces fanfarons de la coupette de mousseux qui me dérangent mais le manque de recul de leurs admirateurs. Exemple : je visionne un article dans le Mague sur Maïa Mazaurette qui apparemment "réveillerait la télévision" dixit Batistine B.

Pour avoir vu cette émission, je ne comprends pas d’où peuvent venir ces termes de « souffle de fraîcheur », « Il faut qu’elle fasse de l’antenne » et « Bravo Maïa, tu as tout d’une grande ».

J’ose espérer que derrière ce pseudo « B.B » signant cet article, se cache notre Viniale qui n’ a pas eu les couilles de se rendre ridicule en signant ce camouflet contre l’intelligence mais qu’il part dans ces compliments car il a l’intention de sauter la petite Maïa.

Je n’ai rien contre cette jeune auteur télégénique (appartement), même que je pourrais me sentir intéressé par ses frasques (si elle en faisait) mais je suis horriblement chagrin de voir qu’on starifie un poireau habillé d’une courge sur son torse qui parle sans envergure. Ok : que cela puisse faire fun pour Bern et sa bande, je le conçoit mais que les téléspectateurs en arrivent à applaudir une prestation si fade : je ne comprends plus rien.

N’ai-je donc le choix qu’entre « Les choristes » et l’autre caisson sans résonance qui fait un blog ou elle raconte (ce qui fait sourire l’intéressé car il n’a jamais cru qu’on puisse en être arrivé là dans la fraîcheur, la perversion, etc...) qu’elle a envie de vomir sur ses groles. « Mon dieu : mon petit doigt frémit et ma veste Kenzo perd ses rayures : vous êtes vraiment quelqu’un d’extra Maïa !

"Vous m’avez poussé dans mes derniers retranchements » dixit Bern a la fin de SON émission quand il coupe encore la parole à ses deux chroniqueuses (potiches) femmes qui n’ont de temps d’antenne que compté en secondes, lors du débriefing.

Vous me faites tous chier bande de nœud à ne pas chercher ailleurs la solution à votre fadeur. Je me tire en Normandie boire comme un trou, je reviendrais barbu, hirsute et vous m’inviterez dans vos sauteries télévisuelles, radiophoniques et journalistiques.

J’irais montrer mon cul, haut perché, dans vos vernissages sans intérêts, je sélectionnerais les rendez-vous les plus merdiques pour me la jouer grave ! je prendrais un petit peu d’essence de térébenthine et j’instaurerais la nouvelle drogue des durs. Si tout se passe bien je ferai chroniqueur dans le Figaro Madame à la rubrique « Frais et Provincial ».

Ce serait trop facile de ne pas positiver. Alors voilà : Dans le compartiment fraîche et branchée moi je vote pour Maïtena Biraben ! tiens si elle veut, quand je serai aussi « célèbre » (cad : inconnu) que l’autre Miss Mazaurette je veux bien être son mec. On fera des enfants frais et atypique. La vie sera enfin un sourire.

Et même que dans notre émission qui sera tout sauf tendance, on invitera un cuisinier du Larzac, un radiesthésiste de Bretagne, un kinésithérapeute de Dijon.

Parfois, on présentera aussi le don du cœur et le petite geste de courage (par ex. un plombier qui soude super bien une fuite chez Madame Borelli)

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LE PASTICHE PAS TRES DROLE du BLOG de MAIA

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