Monsieur Emmanuel Macron, Monsieur Olivier Véran, Monsieur Jérôme Salomon, à tous les savants et autres sachants, arrêtez de nous prendre pour vos subissants incultes voire pour de sombres imbéciles.

Depuis le début de cette crise sanitaire mondiale dont l’origine reste floue, vous nous emmenez en bateau, vous nous méprisez, vous nous infantilisez, vous nous prenez pour des ânes bâtés. Vous soufflez le froid et le chaud, à votre guise. Vous nous dites que le masque est une sombre bêtise, avant de nous l’imposer. Un jour, vous prétendez que ce virus est une grippette et le jour d’après qu’il nous faut redouter une éventuelle intubation en réanimation, si ce n’est la mort.

Vous nous empêchez de rendre visite à nos aînés, vous nous confinez, vous nous embrigadez, vous nous punissez, vous nous persécutez, vous fermez les théâtres, les cinémas, les Musées, les salles de concert et de sport, les bars, les restaurants ou que sais-je encore.

Votre hérésie scientifique collégiale et frénétique semble pourtant vous donner actuellement tort car vous prétendiez qu’en ces lieux précités le virus circulait beaucoup plus activement. Aujourd’hui vous paralysez inutilement l’accès à la culture et aux plaisirs de la vie, alors que le virus est de plus en plus actif et qu’il circule à une vitesse que vous ne contrôlez plus. N’avez-vous pas l’impression que vous vous êtes trompés, tout en nous trompant ?

Vous poussez même votre sombre plaisanterie, jusqu’à nous promettre un troisième confinement qui ne saurait tarder et pourtant vous avez le vaccin, les masques, le gel hydroalcoolique, les tests, la distanciation que vous osez appeler sociale, vos journalistes et autres agents de la météo ne parlent que de ça à longueur d’antenne, vous nous gavez comme des oies avec vos nouveaux médecins « Diafoirus » de plateaux télé, en continuant à saper le moral de vos concitoyens. C’est un vrai lavage des cerveaux digne de l’ex-URSS.

J’ose simplement vous rappeler que ce sont vos illustres prédécesseurs qui ont tout mis en œuvre pour fermer des lits d’hôpitaux et de réanimation, en se séparant du personnel médical et paramédical et que vous flippez dès qu’un pèlerin à la diarrhée par simple peur que vos hôpitaux soient saturés. Alors, vous avez eu recours au confinement pour enfermer tout le monde, par simple peur d’être débordés.

Nous vous jugeons déjà et bientôt ce sera l’Histoire qui le fera à notre place !