Bas les masques

Bas les masques

Le Petit Prince de Macronie l’a dit, la fin du carnaval n’est pas pour demain et il n’est pas prêt à faire tomber nos masques. Comme si cela l’arrangeait de maintenir notre bâillon, il en rajoute en nous menaçant de punir les enfants que nous sommes à ses yeux.

Nous devons, durant six semaines, rentrer à la maison avant vingt et une heures. Comme il n’est pas capable de prendre les mesures qui s’imposent dans les cités de la honte dirigées par des bandes de petits caïds qui ne se revendiquent pas français, il consigne tout le monde à la baraque. Pendant ce temps-là, il gagne du temps et n’est plus ennuyé par les Gilets Jaunes, les délinquants et autres criminels, ainsi que les buveurs du soir qui se rassemblent dans les bars et restaurants de ce qui devient une triste France. Le couvre-feu est instauré et la dictature aussi. Gouverner c’est prévoir et il prévoit de nous faire ligoter et de nous mettre au pas, avec l’aval des médias qui lui sont acquis et des médecins de salon plus à l’aise sur un plateau de télévision qu’à l’hôpital ou dans un cabinet médical.

N’étant ni médecin et encore moins spécialiste du cerveau, je me garderai bien de plaider pour la fin immédiate des masques immondes qui jonchent nos rues. Cependant, ce que je sais, en l’ayant appris auprès du Professeur d’Anatomie-Pathologique Guy Chomette, pendant les trois années durant lesquelles j’ai pu ouvrir et éviscérer de nombreux cadavres dans les salles d’autopsies de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, est qu’un cerveau privé d’une oxygénation correcte ne fonctionne pas bien et que certaines cellules meurent sans pouvoir être remplacées.

Il est donc très simple de comprendre que ce dioxyde de carbone, rejeté à l’intérieur de nos masques, empoisonne notre cerveau en créant un déficit en oxygène, sans compter les nombreux autres symptômes qui vont arriver en cascade.

Si ne nous mourrons pas de ce virus échappé d’un laboratoire chinois, rien ne prouve que nous n’allons pas souffrir, dans quelques années, d’un dysfonctionnement cérébral qui nous fera ressembler à un peuple de moutons... Mais n’est-ce pas la volonté de ceux qui nous dirigent d’être à la tête d’une armée de zombies déambulant dans les transports, les rues et sur les lieux de travail, sans nous rappeler qui nous sommes et pourquoi nous venons de perdre nos derniers instants de liberté. Ce n’est, ni plus ni moins, que le rêve de tous les dictateurs d’avoir une population d’abrutis disciplinés sous la peau desquels on ne vas pas tarder à rajouter quelques puces électroniques, pour nous faire accepter notre démarche fantomatique et notre soumission de bêtes de cirques décérébrées.

Tout un joli programme en perspective !