A L’Auberg’Ine divine

A L'Auberg'Ine divine

C’est toujours avec un plaisir non dissimulé que je viens m’attabler, chaque année, chez Sandrine et Nicolas Legrand qui tiennent l’Hôtel-Restaurant L’Auberg’ine situé à Sainte-Anne d’Auray dans le Morbihan. Dans ce joli établissement, il y a toujours de belles surprises, tant dans l’assiette qu’au fond du verre. Pour cela, il suffit juste de faire confiance à ce couple compétent, dynamique et sympathique. Selon vos choix de plats, Sandrine Legrand vous conseillera les meilleurs accords mets et vins.
Le Chef de Cuisine Nicolas Legrand vous fera découvrir, quant à lui, une cuisine authentique et magnifique faite à base de produits frais et locaux, en y mettant toute sa passion et sa créativité.

En ce dimanche maussade, quoi de mieux que d’aller prendre place au restaurant en retrouvant le soleil à table.

C’est Nicolas Legrand et Jean-Luc Larvoir qui m’accueillent le plus aimablement du monde. Vient ensuite la pétillante Sandrine Legrand qui me saluera avant de me guider jusqu’à ma table ainsi que dans mes choix de vins.

En apéritif, Jean-Luc Larvoir me propose un bien joli verre de vin blanc Crozes-Hermitage 2015 Domaine du Colombier aux belles rondeurs, au goût de pêche blanche miellée.

Arrive ensuite un merveilleux foie gras bien élaboré et Sandrine me sert un verre de vin blanc, subtilement moelleux mais sans trop, des Côtes de Gascogne Gros Manseng avec un très bon équilibre entre le fruit sucré et l’acidité au goût d’abricot et de poire.

Ayant envie de poursuivre sur une belle Sole Meunière, Sandrine Legrand me propose un verre de vin blanc des Coteaux Bourguignon Le P’tit Bonheur bien frais et très plaisant sur le poisson avec des saveurs d’agrumes.

Sur le fromage, Jean-Luc Larvoir prend le relais avec un verre de vin blanc Château-Bas d’Aumelas Barathym rond et fruité, puis un verre de vin rouge de Gigondas avec ses beaux arômes de fruits rouges légèrement poivrés.A noter l’excellence du pain à la mie bien aérée, fruit d’un joli travail de pétrissage d’Artisan-Boulanger.

Le dessert est une excellente mousse au chocolat maison, posée sur un sablé moelleux et croquant à la fois, recouverte d’une tuile aux amandes effilées et d’une poire confite. A mon humble avis d’amateur de chocolat, je pense que la mousse, le sablé et la tuile se suffisent à eux-mêmes et que, pour moi, la poire reste du superflus.

Jean-Luc m’amènera, sur ce dessert chocolaté, un vin dont il taira le nom mais que je situe entre un Rivesaltes Tuilé et un Vieux Byrrh... Un vrai délice de clôture !