Terrorisme : Stop au silence des agneaux !

Terrorisme : Stop au silence des agneaux !

A chaque attentat le Gouvernement larmoyant et sanglotant nous répète, avec des trémolos dans la voix, les mêmes inepties du genre de celles prononcées par le Premier Ministre : « Habituez-vous à vivre avec le terrorisme », comme si nous étions de doux agneaux innocents et que nous devions attendre bêtement, sans réagir, le passage du boucher.

Si nous sommes en guerre alors prenons les armes et luttons tous pour en finir une bonne fois pour toute. Dans une guerre, il n’y a aucune place pour la pitié ou les droits de l’homme et c’est à ce prix-là qu’on gagne le combat. Nous ne devons pas nous comporter comme des moines tibétains qui attendent de se faire asservir ou massacrer par les chinois.

Nos dirigeants sont de sombres abrutis, comme du temps de Vichy. Ils voudraient nous obliger à courber l’échine devant l’ennemi, à collaborer avec lui pour qu’il arrive enfin au pouvoir et à vendre notre Patrie au plus fort.

Il ne s’agit pas seulement de prolonger l’état d’urgence car cela ne sert à rien d’autre qu’à nous priver davantage de liberté. Il ne s’agit pas, non plus, de rappeler des contingents de réservistes à cinq ans, il s’agit en fait d’armer toutes les personnes valides formées au maniement des armes pour résister efficacement à l’ennemi et l’éliminer dès qu’il est identifié.

Les envahisseurs sont là, l’ennemi est partout et si hier le 14 juillet 2016 à Nice des volontaires en armes avaient été présents, cela ne se serait sûrement pas passé comme ça.

Ne descendons pas seulement dans la rue pour manifester contre la loi travail, descendons dans la rue avec nos armes et tuons nos ennemis sans scrupule.

Ce n’est pas tout de faire chanter la Marseillaise à des lycéens, devant la tribune présidentielle de la Place de la Concorde mais maintenant il nous faut mettre les belles paroles de ce chant guerrier autant que sanguinaire en application et qu’un sang impur, comme celui de notre ennemi, remplisse enfin les caniveaux et les égouts de nos villes et de nos campagnes.

Défendons-nous, défendons les nôtres et n’acceptons jamais plus que nos enfants, plus innocents que nous, périssent sous la dictature islamiste !