Le terrorisme du schlass

Le terrorisme du schlass

« Tout condamné à mort aura la tête tranchée », selon ce que disait l’Article 3 du Code Pénal de 1791 et cette peine capitale a été abolie en 1981, sous la présidence de François Mitterrand et après une brillante plaidoirie de Robert Badinter, tout simplement parce cette pratique nous assimilait, selon eux, à un peuple de barbares.

Cependant d’autres dégénérés, islamistes radicaux, viennent, au nom de leur barbarie qu’ils prétendent divine, de proclamer que l’égorgement est le geste ultime pour se débarrasser, un à un, de ceux qu’ils nomment les infidèles. Nous sommes donc tous concernés, même les musulmans qui n’acceptent pas cet outrage fait à leur religion.

Partout, ils voudraient faire régner la terreur, pour convertir le plus grand nombre. Le choix, pour eux, est simple et il n’y en a qu’un : se soumettre ou mourir. En attendant, ils commencent à égorger des symboles, à l’intérieur même des états qui les protègent. Ils s’attaquent à eux, en poignardant et coupant la gorge de jeunes militaires, ceux qu’ils appellent des « Croisés » parce qu’ils auraient fait la guerre en Afghanistan, au Mali ou ailleurs, sur ces terres qu’ils déclarent saintes parce qu’elle appartiendraient à leur Islam.

Après l’égorgement des sept moines de Tibhirine, le 21 mai 1996, voici venus celui de nos soldats et, peut-être demain, de nous. Nous sommes tous à la merci d’un barjot de dieu !

L’ Angleterre comme la France ont été beaucoup trop permissifs, voire complices, en abritant sur leurs sols respectifs des islamistes radicaux et en permettant ces prêches de rues dans lesquelles de hargneux combattants, dans des discours haineux, haranguaient des foules de fidèles, en les appelant à mener partout le Jihad.

Nous en payons, à présent, le prix fort. Les états prétendent, au nom de principes imbéciles, ne plus pouvoir se débarrasser de ces pourritures parce qu’ils ont pu, au fil du temps, acquérir la nationalité du Pays qui les accueillait. Ils font même, chez nous, des enfants qui sont obligatoirement français et qui sont nourris au sein de la haine, comme l’a été Mohamed Merah et comme le seront, sans doute, tant d’autres à venir, jusqu’à se retourner contre nous.

Un jeune militaire britannique, âgé de 25 ans et père de famille, vient d’être égorgé, en pleine rue d’un quartier de Londres, sous les yeux de passants médusés, simplement parce qu’il sortait d’une caserne. Aujourd’hui, dans le quartier de la Défense à Paris, un autre jeune militaire de 23 ans, vient d’être égorgé par un homme en djellaba, simplement parce qu’il faisait partie d’une patrouille Vigipirate de trois hommes chargés d’assurer notre sécurité. Pourquoi ses frères d’armes n’ont-ils pu réagir ? Tout simplement parce que leurs armes ne servent à rien et que leurs chargeurs se trouvent dans des cartouchières, à l’intérieur de sacs en toile fermés et plombés… Quelle bêtise de mettre ainsi la vie de ces hommes en danger !

La menace terroriste est en train de changer de visage, elle devient individuelle et donc impossible à détecter facilement. Plus besoin d’avions pour s’écraser dans une tour, de bombes artisanales à déposer dans le métro ou d’armes à feu pour tuer des enfants juifs, une lame est amplement suffisante pour instaurer la peur et donner la mort. Pas ou plus besoin de cellules combattantes organisées. Seuls des ennemis de l’intérieur suffisent car infiltrés partout et quasiment insoupçonnables, des isolés de l’islam radical très dangereux et parfois formés dans nos pénitenciers, en cachette, pour être prêts à tout dès qu’ils sont libérés.

Devrons-nous sortir, prochainement, avec des minerves pour éviter la lame de ces barbares qui reviennent aux fondamentaux de l’ancien temps, dans leur folle quête de purification religieuse.

À nos états de prendre les mesures qui s’imposent immédiatement, pour nous protéger efficacement !