Nos ennemis de l’intérieur

Nos ennemis de l'intérieur

Partout sur la planète terre, depuis le 11 septembre 2001, nos ennemis de l’intérieur, les terroristes, se lèvent pour venir nous frapper dans cette longue et interminable guerre sournoise qu’ils nomment fièrement Jihad.

Cette sorte de nouvelle croisade ne se déroule plus en Terre Sainte mais dans chaque endroit où le croyant comme le mécréant doivent périr ensemble, juste pour que ces lâches puissent faire aboutir le règne et la terreur d’un dieu qui n’existe que sous leurs crânes malades, au cri de « Il n’y a de Dieu qu’Allah et Muhammad est son prophète ».

Des actes odieux se déroulent, ici ou là, pour déstabiliser l’adversaire impie, le détruire et soumettre le croyant timide à la loi divine imposée par la Charia, sans pitié aucune, comme au Mali.

Depuis Mohamed Merah, dans l’indifférence générale et au nom du grand principe droits-de-l’hommiste, le Jihad semble monter en puissance et les actes sont de plus en plus isolés, donc quasiment imprévisibles. Après New-York, Toulouse et Boston, où va avoir lieu le prochain attentat terroriste… ? Peut-être au Festival de Cannes, qui sait !?

On nous lave le cerveau, à longueur de journée, de semaine, de mois voire d’année, pour nous faire gober le plus indigeste des mensonges de notre temps qui consiste à affirmer que ce sont des actes isolés de jeunes gens souvent rejetés, voulant exister et être reconnus, en nous priant de ne surtout pas faire d’amalgame, la situation était sous contrôle ou en passe de l’être.

De quels actes isolés nous parle-t-on ? Serait-ce de ces actes de barbaries consistant à tuer d’innocents enfants Juifs ou bien des participants à un marathon, des voyageurs du métro de Toronto ou des Gendarmes chargés de la sécurité de l’Ambassade de France à Tripoli ?

Ces terroristes islamistes voudraient nous imposer des coutumes et une religion qui ne seront jamais les nôtres, car notre culture est occidentale et a soif de liberté. Il faudrait se laisser pousser la barbe, se convertir, porter la djellaba et des babouches pendant que nos femmes seraient cachées dans des niqabs affligeants, ne plus manger de porc dans nos cantines et autres endroits réservés à la restauration, prier plusieurs fois par jour et ne plus s’alimenter ni en eau ni en nourriture, du lever au coucher du soleil, et cela pendant un mois. Mais qui sont ces sauvages voulant nous asservir, tels des esclaves, en nous empêchant de vivre dignement et en nous obligeant à la prosternation devant je ne sais quoi, la croupe offerte en signe de soumission ultime et soi-disant divine.

Réveillons-nous, que diable, on assassine, sous nos yeux ébahis, nos femmes et nos enfants, pendant que nous attendons, benoîtement, je ne sais quel miracle ou que les terroristes daignent signer enfin l’armistice.

En vérité, je vous le dis, ce Jihad ne cessera pas car il est en marche depuis trop longtemps vers cette victoire finale rêvée par ces abrutis-criminels.

Ils ne nous enverrons pas une déclaration de guerre officielle, faut pas rêver, nous ne sommes plus au temps de nos grands-pères des tranchées de Verdun qui tiraient dès qu’ils voyaient un casque à pointe. Nous venons d’entrer, sans nous en rendre compte, dans la troisième guerre mondiale et nos ennemis sont infiltrés dans nos rangs, de manière invisible, depuis parfois bien trop longtemps. Ils sont, peut-être, nos voisins, font mine de devenir nos amis, étudient à l’Université ou en Faculté de Médecine, sont jugés comme gentils et souriants, sociables et possédant même la nationalité du Pays qui les accueille comme pour mieux se fondre dans la masse en devenant insoupçonnables, n’hésitant pas à nous enfumer par des beaux discours bien lisses, avant de poser leurs sacs à dos bourrés d’explosifs pour nous déchiqueter et nous réduire à néant.

Ils sèment la terreur, comme le paysan sème le blé, pour mieux récolter les fruits de leur travail de conquérant, avec l’aval de ceux qui les défendent au nom de la tolérance, ne comprenant pas qu’eux aussi doivent mourir. Cela ne vous rappelle rien ? Moi si, la collaboration de gens fanatisés par l’occupant et ses doctrines prétendument salvatrices pour l’humanité et la grandeur de l’Homme.

« Got mit uns », qu’ils disaient !

Écrit par Philippe Chauveau-Beaubaton