Le Président normal est en train de nous « Hollandiser », sans vaseline, pour mieux nous faire sentir la raideur de ce que doit être un bout en train copieusement chevauché par Madame Merkel, prête à s’envoyer l’Europe entière… Et après on s’étonnera de retrouver du cheval dans les plats préparés !

Ses promesses électorales, on s’en doutait un peu, n’étaient pas crédibles. Cependant, à force de reculer, lorsqu’on est déjà au bord du gouffre, consiste juste à faire un pas en arrière pour mieux tomber dans un trou sans fond et c’est donc la chute qui attend l’humoriste de l’Elysée.

Son petit opuscule, avec ses 60 engagements pour la France, ne peut même pas servir à s’essuyer car les feuilles ne présentent pas un confort suffisant pour pouvoir le faire sans se blesser.

Le chômage organisé s’envole, les taxes et impôts divers tombent à la vitesse du couperet d’une infernale guillotine, la misère est autant pénible au soleil que sous la neige, alors que lui et les siens vivent dans l’opulence et sa réforme des retraites sera identique à celle de son prédécesseur.

Hollande n’est que la marionnette de Merkel et lorsqu’on voit cela, on se dit que les allemands n’ont plus besoin de l’oncle Adolf pour coloniser l’Europe et la mettre à sa botte.

Partout on entend les mêmes inepties de journalistes et de scientifiques qui répètent à l’envi que nous vivons plus longtemps, pour ne pas dire que les caisses sont vides, comme pour nous inciter à travailler plus longtemps quitte à le faire avec une canne, voire un déambulateur. Car si l’espérance de vie augmente, on ne nous dit pas dans quelles conditions et surtout avec quels maux et quel taux d’absentéisme pour raisons de santé. Dans le même temps, on continue à payer des retraites à des travailleurs venus de pays étrangers et morts depuis plusieurs années, après leurs retours sur leurs terres natales.

Il serait grand temps de mettre les jeunes sur le marché de l’emploi, afin qu’is puissent cotiser pour payer la retraite des vieux et des momies qui se traînent pour occuper des postes à vie, comme ses anciens généraux de l’Armée qui touchent déjà une confortable retraite militaire et se retrouvent aux commandes d’entreprises civiles, dans lesquelles ils sont encore grassement payés pour harceler les travailleurs placés sous leurs ordres.

Comment faire pour se serrer la ceinture, alors que nos pantalons se retrouvent sur nos chaussures, à force de les baisser pour se faire prendre plus rapidement.

Vous Président… C’est le néant !