Etouffante, elle l’est assurément et fait tout pour être aux premières loges. Prête à tout et surtout au pire afin qu’on parle d’elle et qu’elle devienne incontournable dans les décisions importantes, à croire qu’elle possède un lien de parenté avec l’influente Catherine de Médicis ou peut-être encore avec l’intransigeante Madame Thatcher.

Les Français viennent de voter pour que François Hollande dirige la France, dans les cinq prochaines années, et certainement pas pour sa compagne d’un soir dont l’amourette pourrait bien rester prochainement sans lendemain, à force d’énerver ce bon François.

Cette femme n’a aucune légitimité pour s’enorgueillir du titre honorifique de « Première Dame » d’autant qu’elle n’est, pour le moment, que la maîtresse de François Hollande, une femme non divorcée, jalouse et excessive, voire manipulatrice. Si elle espère le mariage, elle se trompe car François Hollande n’était déjà pas marié à Ségolène Royal.

Valérie Trierweiler a le comportement puéril d’une gamine bourgeoise gâtée et en mal de reconnaissance. Elle manque totalement de retenue et ce n’est pas la discrétion qui l’étouffe. Une journaliste, digne de ce nom, se doit d’être impartiale et objective mais ces qualités semblent lui faire défaut. Dominatrice, elle veut donner son avis sur tout sans même qu’on ne le lui demande. Lorsqu’on veut être une « Première Dame », il ne faut pas vouloir briller jusqu’à faire de l’ombre au Président et semer la zizanie dans les coulisses du Pouvoir et les rangs du Parti Socialiste, le pire étant de contredire une décision présidentielle.

Ségolène Royal, quoique puisse prétendre Miss Valérie Trierweiler, aura toujours des liens forts avec son ex-compagnon, en raison des enfants qu’il ont eu ensemble et ces sentiments insupportent celle qui voudrait faire table rase du passé, en prenant une place qu‘elle ne mérite pas.

François Hollande pourrait d’ailleurs bien répudier l’intrigante et reprendre la belle Ségo à ses côtés, ce qui aurait de la gueule et plairait sûrement au bon peuple de France, lequel adore les belles histoires qui finissent bien.