Martine Verschooren, la Belge qui va occuper la France et envahir Paris

Martine Verschooren, la Belge qui va occuper la France et envahir Paris

Martine Verschooren vient envahir Paris de ses toiles. Cette immense artiste a pour mission de conquérir le peuple de France, avec ses peintures dans lesquelles nous allons être pris au piège de son talent exceptionnel, en voyageant dans un monde plus beau, coloré, frivole et emprunt d’amour.

C’est à compter de mercredi 11 avril 2012 et pour un mois, que la belle Belge va enfin entrer dans la légende, en venant inonder la Capitale de ses œuvres, toutes plus sensuelles les unes que les autres, en exposant son travail chez la très célèbre galeriste Véronique Mazert de Courcelles Art Contemporain, au 110 Boulevard de Courcelles, dans le dix septième arrondissement de Paris.

Martine Verschooren, à l’aide de ses pinceaux, vient nous chanter les dessous chics de Serge Gainsbourg, comme le faisait si bien Jane Birkin en son temps. Courbes et contours semblent nous emmener dans les paradis secrets de cette féminité, là même où se cachent ces fruits défendus que nous espérons fendus comme de jolis petits abricots gorgés de soleil et prêts à s’ouvrir en deux, sous une douce pression de notre langue gourmande.

Voici ce que nous inspirent les peintures de Martine, lesquelles nous mettent l’eau à la bouche et sont une invitation permanente au voyage dans le monde des sens et du plaisir, dans celui de la beauté et de l’imaginaire, de la paix et de l’amour sans fin que l’on consomme sans faim, comme pour apaiser notre soif, en allant boire à la fontaine de jouvence où coule la source de vie.

Qu’y a-t-il sous les jupes des filles, de quelles couleurs sont leurs petites culottes et en ont-elles seulement, quelle est la forme de ce sein qui semble pigeonner et pointer dans ce soutien-gorge noir en mousseline transparente, que se passe-t-il derrière la serrure de cette chambre où un string d’une blancheur virginale tombe sur deux chevilles d’une extrême finesse… et en haut de ces jambes élancées et délicatement gainées de bas de soie, va-t-on enfin trouver la toison d’or ?

Toute l’expression de Martine Verschooren nous entraîne irrémédiablement vers des parfums d’amour, aux effluves de désir charnel, jusqu’à vouloir aller nous blottir dans l’antre tiède et humide de la louve et redevenir enfin de dociles louveteaux.

Vous ne verrez ni violence ni sexe, dans les peintures de notre romantique Belge, car tout n’est que suggestif pour nous permettre de mettre en route notre écran mental sur lequel nous allons pouvoir projeter le propre film de nos pensées.

Martine aiguise seulement notre curiosité et notre appétit des choses de la vie… C’est à ce moment précis que l’on se dit que son Art est grand et qu’elle a le don de l’exprimer d’une belle manière.