CARLA BRUNI A-T-ELLE INFILTREE L’ELYSEE ?

Carla et Nicolas ne se sont pas mariés au grand jour, mais dans le secret d’un cabinet du Palais Présidentiel. Mariage à la va vite et contre nature, union d’intérêt pour l’une et de façade pour l’autre.

Comment l’artiste gauchiste, adepte de la gratte, du pétard et des amours multiples, a-t-elle pu se stabiliser du jour au lendemain en se mariant avec un homme de Droite à la personnalité psychorigide.

Travaille-t-elle pour son compte personnel, en vue de son avenir musical et cinématographique, ou a-t-elle l’intention de livrer son mari au peuple, voire à l’échafaud médiatique en le salissant au passage.

Derrière son joli petit minois, de jeune fille bien sage aux airs angéliques, se cache peut-être un monstre beaucoup plus froid qu’il n’y paraît, une calculatrice à laquelle rien n’échappe, une charmeuse de serpents au regard de panthère et aux mélodies sirupeuses ne servant qu’à endormir ses proies pour mieux aller les piquer au réveil.

Le Président serait-il sous l’influence de la gracile mante religieuse qui ne saurait tarder à le dévorer, après avoir joui avec lui des délices du Pouvoir ? Le mâle dominant n’est pas toujours celui qu’on croit !

Son numéro de charme est bien rodé, auprès de sa trentaine d‘amants d‘avant ses noces, mais elle ne peut faire illusion auprès de ses ex libérés avec bonheur de son joug et de gens clairvoyants qui subodorent sa nature profonde et sa soif maladive de reconnaissance.

Son côté glacial la fait ressembler à la Reine Marie-Antoinette détestée par le bon peuple de France.

Et si Carla soufflait au Président sa conduite à tenir face à nous, jusqu’à son intransigeance sur la réforme des retraites qui va lui coûter bien plus que sa place.

Carla serait-elle la réincarnation de l’Italienne machiavélique qu’était Catherine de Médicis ? Ira-t-elle jusqu’à aller gouverner la France dans l’ombre, en tirant les ficelles de sa marionnette du moment ?

Cette femme forte est l’exemple vivant que l’homme appartient au sexe faible, depuis la nuit des temps, et que les femmes dirigent ce monde en nous faisant croire que nous portons ce pantalon qui n’est qu’une bien piètre illusion.

Carla est trop polie pour être honnête et bien trop polissonne, pour que nous puissions lui faire confiance.