Véritable révélation de ce rendez-vous rural, sa présence, il faut bien le dire, est une sacrée bonne idée de casting qui tient toutes ses promesses.

Le joli garçon efféminé fait merveille dans la basse cour, il casse tous les codes entre les garçons et les filles, fait exploser ce faux huis clos médiatique. Un troisièlme sexe est né.
Mieux qu’un simple homosexuel, le garçon habillé en grands couturiers arborant une taille et un cul que toutes les ménagères lui envient fait merveille parmi veaux, vaches cochons, Perrette et autres pots au lait.

Racé, de haute tenue, sa délicatesse, sa sensibilité et son originalité sont une bouffée de soleil dans un monde de pécores mal sapés, de ploucs régionalistes.

Rien que sa présence est un hymne à l’ouverture d’esprit, on se réjouit de voir sa classe naturelle rudoyée par des contingences de conforts minimalistes, ses talons aiguilles dans le purin nous rappellent les plus belles images surréalistes. Ce serait bien que Vincent se fasse mettre par un animal en rut dans la mare aux canards, imaginez le pic d’audience.

Les garçons ont des plus jolies fesses que les filles, brigitte Bardot avait des fesses de minet, c’est ce qui a fait son succès. Vincent à ce jeu là n’a rien à envier à la mieux foutue des Bimbo des magazine. On a du cul de voir cela sur T F HEin.

Une télévision qui aime Vincent MacDoom est un média qui vit avec son temps. Vincent a une réelle cote de sympathie auprès du public et ce n’est pas un hasard. Comme le Loft l’avait fait avant elle, la Ferme est un précieux accélérateur social, une espace sociologique prodigieusement intéressant à observer, qui précède un phénomène de masse..

De plus Vincent joue pour une des associations les plus méritantes qui soit « L’Ange bleu » de Latifa Bennari.
Il convient de soutenir notre jolie pouliche jusqu’à la fin des travaux de ferme.

C’est pour la bonne cause et c’est tellement frais et pénétrant tout cela.