Un soldat français tué samedi pour 367 burqas !

Un soldat français tué samedi pour 367 burqas !

Un soldat de 22 ans du 3ème Régiment d’Infanterie de Marine a été mortellement blessé lors d’une embuscade en Afghanistan. Deux de ses camarades ont été blessés, l’un à l’épaule et l’autre au mollet. Avec les forces de la coalition occidentale, ils participaient à une "opération de sécurisation" en vue de l’élection présidentielle le 20 août prochain, dans le cadre de la grande croisade contre le terrorisme islamiste.

Selon le porte-parole du corps expéditionnaire français en Afghanistan, le soldat, dont on ne connaît pas encore l’identité, venait de s’engager et se trouvait avec son régiment du 3ème RIMa de Vannes en Afghanistan depuis le mois de juin. Leur patrouille a été attaquée vers 6 heures du matin dans la vallée de Ghayne, un secteur de la province de Kapisa, où 31 militaires français sont déjà tombés le 19 août de l’année dernière.

"C’est un endroit merdique où on ne va pas", rapporte l’hebdomadaire Le Point sur son site Internet. L’opération était destinée à consolider les liens avec la population. Elle était organisée de façon classique, avec des éléments de l’Armée nationale afghane (ANA), appuyés par des soldats français et quelques Américains. 230 militaires en tout participent à des patrouilles semblables dans la zone.

L’exercice n’est pas simple, qui impose d’aller de manière pacifique dans les villages pour proposer soins médicaux, aliments de base, kits de secourisme, couvertures, vêtements, etc. Pour les enfants, les soldats ont apporté des cerfs-volants, ces jouets traditionnels symboles de plaisir et de liberté interdits par les talibans. Ces patrouilles permettent également de recueillir de précieux éléments d’information sur la situation tactique et sur la présence, ou pas, d’insurgés dans la région.

L’objectif est de préparer le terrain à l’élection présidentielle du 20 août 2009, en prolongeant l’offensive américaine menée au mois de juillet dans le sud du pays par les contingents américain et britannique. "Au-delà des discours officiels", commente Le Monde sur son site Internet, "le scrutin pourrait être, en réalité, sérieusement perturbé par un climat sécuritaire qui ne cesse de se dégrader". Le président Hamid Karzai est considéré comme le favori et est présenté pour un second mandat de cinq ans. Son seul adversaire de poids parmi les 39 candidats est l’ancien ministre des Affaires étrangère Abdullah Abdullah.

"Au vu de l’ampleur des zones désormais non couvertes, la question de l’accès au vote et de sa sincérité est donc posée pour les populations rurales, qui constituent l’essentiel du pays", précise le quotidien de référence. Le pays, très accidenté, manque d’infrastructures et les combats ne facilitent pas la tenue de la consultation. Plusieurs candidats aux élections provinciales ont déjà été tués, rapporte L’Humanité sur son site Internet, et les talibans ont appelé au boycott des élections. En 8 jours, depuis le 21 juillet, les soldats français ont essuyé 8 attaques dans les provinces de Kapisa, du Wardak et du Logar, selon le commandement français.

"C’est sans issue, il n’y a pas de solution militaire", explique Maryam Abou-Zahab, chercheuse au Centre d’Études et de Recherches Internationales (CERI), "On envoie des renforts, on accroît l’intensité des combats et on renforce l’insurrection". Mais la présence occidentale en Afghanistan est moins motivée par l’intérêt géostratégique du pays, situé aux carrefours de la route de la soie et de celle de l’opium, que par la menace du terrorisme islamiste. Nicolas Sarkozy, suite au drame, a "condamné avec force les pratiques lâches et barbares des ennemis de la paix en Afghanistan et a réaffirmé la détermination de la France à lutter, aux côtés du peuple afghan, contre l’obscurantisme et le terrorisme".

Il faut comprendre que les insurgés, comme il est convenu de nommer ces combattants afghans, ne sont pas des soldats, et ne se battent pas pour des motifs légitimes, alors que la présence militaire occidentale sur un sol étranger, tout au contraire, l’est. Les forces armées de la coalition se trouvent en Afghanistan appelées au secours par le chef de l’État de ce pays, Hamid Karzai, pour consolider un pouvoir que celles-ci lui ont justement offert. Les talibans, tout comme les fellaghas jadis pendant les "événements" d’Algérie, sont des bandits de grands chemins, et même des terroristes prêts à fondre sur les métropoles occidentales à bord d’avions de ligne pour y commettre des attentats monstrueux dès qu’ils en auront la possibilité.

C’est pourquoi les États-Unis ont proposé une alliance à leurs alliés occidentaux pour fixer cette engeance dans les montagnes afghanes à défaut de l’éliminer de la surface du globe. Car pendant ce temps, dans d’autres pays musulmans, de sombres attardés mentaux, intoxiqués par la propagande islamiste, fabriquent des bombes avec des produits de rebut, et envoient leurs femmes dans les pays-cible pour y perpétrer des attentats, ou à défaut, polluer l’espace urbain vêtues de leurs longues tuniques.

Elles seraient d’ailleurs 367 en France, selon une note de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI) citée par Le Monde, un chiffre qui relève de l’observation du service et n’est pas exhaustif, précise le quotidien. Une très grande majorité de ces femmes est âgée de moins de 30 ans et, pour un quart d’entre elles, il s’agirait de Françaises converties à l’islam. Horreur !