Les branleurs de Guadeloupe sur France-Info

Les branleurs de Guadeloupe sur France-Info

Ce jeudi 19 février 2009, un Grand Format dans la matinale de France-Info. Un confrère va interroger les jeunes. Paraît qu’il y a un malaise social. Au micro un jeune guadeloupéen qui veut « percer dans la musique ». Hallucinant de bêtise ! Jusqu’à quand allons-nous tolérer cette bande de glandeurs ?

Oui. Parfaitement ! Le jeune homme interrogé vit du RMI chez sa sœur. Et il se plaint qu’il n’y ait pas la moindre Maison des jeunes dans son quartier. Comme en métropole. Avec des jeux de loi (sic). Avec de quoi enregistrer. Monsieur veut être chanteur !
Sauf que monsieur parle comme un attardé. Et que monsieur n’a aucun talent puisque personne ne produit son disque. Combien sont-ils à se croire investis d’une âme de chanteur dans cette île au lieu d’aller travailler ? Combien sont-ils à vivre au crochet de la société sous le faux prétexte d’être « artiste maudit » ?

Il suffit d’entretenir une bande de branleurs qui ne veut surtout pas travailler. Ben oui, c’est tellement mieux de ne rien faire et d’attendre que l’Etat prenne tout en charge …
Quand on voit les salariés mis à pied ou en chômage technique. Tout ces gens qui travaillent et qui sont méritants, on s’énerve un peu d’entendre des branleurs se plaindre !
Après on nous bassine les oreilles en nous disant que le travail est tenu par les Blancs. Mais les autochtones veulent-ils bosser ? Qui a oublié les campagnes locales pour rappeler que l’on devait être aimable et souriant avec le client ? Qui a oublilé les sommes investies pour faire revenir les touristes qui désertaient les hôtels de Guadeloupe et de Martinique car l’accueil et le service étaient à chier ?!
Les syndicalistes à n’en pas douter ... Oui, ils préfèrent se la couler douce au soleil que de travailler. C’est vrai, en Guadeloupe, il fait si chaud ... C’est si dur de travailler sous le soleil ... On est mieux en tongs et tee-shirt qu’en bleu de travail à suer. C’est clair. Mais ici aussi, on récolte ce que l’on sème. Donc si on branle on récolte rien. Ou des coups de matraque de la police. Et c’est tant mieux !

Sans reprendre la phrase de Pascal Sevran, il faut tout de même reconnaître qu’une politique des naissances serait la bienvenue aux Antilles ! En Guadeloupe et en Martinique, pourquoi les gens font-ils des flopées d’enfants alors qu’ils n’ont pas le sou ? Pour les laisser croupir plus tard dans des HLM et survivre grâce au RMI ? Un peu de dignité que diable. Un peu de conscience et d’humilité. Si l’on veut avoir des enfants mais que l’on ne peut pas les élever alors on n’en fait pas ! Ce n’est pas à la société à toujours devoir réparer les conneries des gens ….
Car que se passe-t-il en Guadeloupe ? La révolte des indigents se fait sur le terrain des familles nombreuses et désœuvrées. Et c’est là qu’un planning familial bien adapté aurait évité les dérapages. Les assistantes sociales n’ont aucun pouvoir. Au lieu de faire des lois qui ne servent à rien, nos députés n’ont qu’à voter une loi qui interdit plus d’un enfant sous le seuil des 2500 euros nets par mois et le problème sera réglé !

Sinon, donner l’indépendance aux Antilles serait aussi un bon moyen d’avoir la paix ! Puisqu’ils sont si fiers. Si forts. Et si malins. Qu’ils se débrouillent donc tout seul ...