LE SAPHISME : CET ART D’AIMER AU FÉMININ

LE SAPHISME : CET ART D'AIMER AU FÉMININ

Celles et ceux qui subliment la femme, comme étant une véritable œuvre d’art, me comprendront à n’en pas douter un seul instant. J’aime tellement la femme qu’il m’arrive parfois de ne plus vouloir être homme, simplement pour ne pas la brusquer de ma masculinité et ne l’entourer que de délicatesses.

J’en arrive même à me demander si je n’ai pas été lesbienne, dans une vie antérieure, car je passerais bien ma journée à brouter son minou, à titiller son clito de ma langue gourmande en laissant traîner mes lèvres insatiables sur les grandes et petites lèvres du sexe humide de ma partenaire blonde et beaucoup plus jeune que moi.

J’adore prendre mon temps et musarder sur son corps, au gré de mes envies, en hasardant un doigt tendre et coquin pour fouiller les délices de son antre profonde, aux bords qui semblent être drapés du plus fin des velours. Quel bonheur d’avoir pu sortir, le jour de ma naissance par ce petit trou magique qui est une véritable grotte aux multiples secrets. Cette fille est tellement propre et soignée, toujours tirée à quatre épingles, aussi belle au lever qu’au coucher… qu’il m’arrive de vouloir jouer à la poupée avec elle. Je me réveille la nuit pour le simple bonheur de la regarder dormir, sans même la toucher et pour le simple plaisir égoïste de régaler mes yeux qui ne voient qu’elle.

Lorsqu’elle sort de sa douche et enfile ses lingeries fines et de bon goût, j’adore l’embrasser en glissant ma main vers sa petite culotte satinée, en frottant son petit bouton de rose avec mon doigt mais à travers l’étoffe qui la protège de mes incursions en pays d’elle... c’est alors que s’ouvrent les portes du paradis pour laisser place à la masturbation que je lui prodigue, en alternant fougue et lenteur.

Mon plaisir intense est de la caresser tout doucement, de la pulpe de mes doigts qui se font aussi doux qu’un vent chaud qui balaye sa peau, alors qu’elle est allongée sur le ventre comme si elle se livrait à moi dans une totale confiance. Puis je la masse longuement en ne voulant pas oublier un centimètre de sa belle peau, ni même une seule partie de son corps. Je dépose de petits bisous ici ou là et un peu partout, en m’attardant sur ses zones érogènes… ce qui a pour effet de lui donner la chair de poule un court instant.

Elle se retourne en s’étirant, comme un petit chaton qui se réveille et la paume de ma main, que je fais furtive, voyage entre sa vulve gonflée et ses mamelons tendus. Elle tremble de bonheur et d’envie, elle mouille, coule, gicle et m’inonde. Nos petits jeux sexuels n’ont jamais de fin, surtout lorsqu’elle enfile ses boules de Geisha que je remplace volontiers par des boules de relaxation plus grosses qui tintent en s’entre choquant l’une contre l’autre à l’intérieur de son vagin et à chacun de ses pas qu’elle place l’un devant l’autre comme pour me faire son défilé de mode dans le plus simple appareil, comme tu es belle et vibrante avec tes 14 ans de moins que moi… ma petite MDR.

Je suis fou de ton odeur de femme lorsque tu viens te lover contre moi sous la couette et que tu viens caler tes fesses contre mon pubis. J’aime te sentir encore toute chaude de la nuit, lorsque tu viens t’offrir à moi comme ces viennoiseries croustillantes des dimanches de mon enfance. Mes doigts suivent le contour de tes formes tellement bien proportionnées, j’ai l’impression de dessiner en me prenant pour ton créateur. Ton bel abricot redevient tout humide lorsque je passe subrepticement mon doigt dans la fente parfaite de ton sexe. Il me vient cette indéfinissable envie qui me fait dire que je ne voudrais jamais que cet instant finisse.

Je t’embrasse au creux de ton cou, en relevant tes cheveux qui glissent en cascade sur mon ventre en entre tes reins. Ton beau petit cul ferme et bien pommé épouse soudain mes formes… j’aime à le prendre dans mes mains pour sentir cette chair ferme et musclée. Après j’ouvre délicatement tes cuisses et laisse traîner mes doigts dans tous les espaces que tu m’ouvres, en stimulant le petit sillon qui délimite l’espace entre tes deux orifices brûlants qui se dilatent et se contractent tels le flux et le reflux de l’océan.

Je sens soudain ta poitrine se gonfler tels de beaux fruits murs gorgés par le soleil d’été. Ma tête descend jusqu’à aller me rafraîchir à ta jolie fontaine de jouvence d’où coule cette liqueur qui semble venir des hauteurs de ta splendeur. Quelle divine nourriture tu m’offres-là ! Il m’arrive d’avoir mal sous la langue tellement je te lèche et bois goulûment… mais tu es si bonne qu’il m’est impossible de ne pas t’honorer de la sorte.

Seules les femmes savent se faire jouir de la sorte entre elles, sans la présence des hommes, alors je sais être cette femme parce que je ne supporte que la douceur... je ne veux que le beau et le bon !

Alors messieurs, il est grand temps de vous glisser dans la peau d’une femme et devenir adepte du saphisme... vous m’en direz des nouvelles !