MÉDICAMENTS GÉNÉRIQUES : UNE FLIBUSTERIE QUI VA FAIRE MOURIR LA PROFESSION DE CHERCHEUR

MÉDICAMENTS GÉNÉRIQUES : UNE FLIBUSTERIE QUI VA FAIRE MOURIR LA PROFESSION DE CHERCHEUR

Votre Médecin vous prescrit des médicaments, en les désignant par un nom précis, pour une affection bien
particulière et lorsque vous arrivez chez votre Pharmacien celui-ci se permet de changer la prescription médicale en vous proposant des produits génériques. Au passage, si vous avez l’audace de lui dire que vous voulez exactement ce qui est prescrit par votre Toubib (qui n’a pas mentionné le nom du générique sur son ordonnance) et le toupet de refuser les génériques, le Pharmacien insiste lourdement en prenant un ton menaçant et en vous faisant une leçon de morale sur le déficit de la Sécurité Sociale... laquelle pourrait ne pas vous rembourser le montant du tiers payant dont vous devez vous acquitter immédiatement, ce qui est totalement faux.

Vous devez accepter ces produits selon la loi de financement de la Sécurité Sociale du 21 décembre 2006, loi validée par la Commission Nationale des Pharmaciens du 23 mai 2007 et applicable depuis le 2 juillet 2007. C’est de la dictature intellectuelle, vu que tout le monde sait que les déficits de l’Assurance Maladie viennent d’autres pratiques qui ne dépendent pas des "vrais" malades.

Il faut savoir que le médicament générique est une copie de la molécule du médicament original et qu’en partant de ce principe, on constate qu’il n’y a pratiquement plus de Chercheurs dans ce domaine particulier. Avec le produit générique, il n’y a plus de coût de recherche et de mise au point... ce qui tue complètement la profession de Chercheur.

Le médicament original est protégé par un brevet, pendant 20 ans et après il tombe dans le domaine public ou tous les Laboratoires ont le droit de reproduire le médicament de marque... mais comme les labos n’ont pas la vraie recette, ils ne font que copier grossièrement le produit, en changeant le nom et la composition de l’enrobage de la molécule, ainsi que les différents excipients qui rentrent dans la composition initiale. Le générique n’est donc qu’un plagiat réalisé à bon compte. Un simple exemple avec un nom d’antibiotique basique tel le "Clamoxyl", son générique se nomme "Amoxilline" dont un des effets indésirables provoque des diarrhées qui n’apparaissent pas avec le "Clamoxyl". Il n’y a pas qu’une simple histoire de brevet, puisque des génériques voient aussi le jour sans une seule référence au produit de base... et de plus en plus. Mais ne nous inquiétons pas vu qu’on nous dit que tout est contrôlé par les organismes de Santé Publique, cependant les génériques ont-ils été essayés sur des patients avant leur commercialisation... il y a là un vrai flou artistique, donc comme dirait La Palice, un manque de transparence évident ! Et pourtant, il y a souvent assez peu d’écart de prix entre le médicament original et le médicament générique. On ne nous dit pas tout, comme dirait la comique Anne Roumanoff, puisqu’on constate que certains médicaments originaux ont un prix en baisse par rapport aux médicaments génériques... le marché serait-il bien juteux et la question est de savoir qui s’en met plein les fouilles, sur le dos des malades bernés. Le générique est la porte ouverte à la tricherie, simplement pour faire du fric... ce putain de fric qui dirige le monde, quitte à empoisonner la populace !

Certains Pharmaciens, dociles et très obéissants, touchent une marge non négligeable de la part des labos qui fabriquent les génériques.
À votre Médecin et à vous d’être plus fermes, en refusant cette substitution. Après enquête effectuée auprès des professionnels de santé, certains d’entre eux affirment avoir remarqué - avec le recul du temps - que le générique est parfois moins efficace que le médicament "princeps" (original), à cause d’une mauvaise copie de la molécule et des enrobages qui provoquent des phénomènes d’intolérance chez des patients qu’ils connaissent souvent depuis fort longtemps.

En fait, on ne peut pas grand chose contre vous si vous n’acceptez pas le médicament générique proposé par votre Pharmacien... si votre situation financière vous le permet, vous faites l’avance des frais en payant au Pharmacien la part qui correspond au montant dû par l’Assurance Maladie et votre Caisse vous rembourse quelques jours après... faites-le car c’est un acte de résistance contre l’oppression de cette nouvelle forme d’asservissement de l’être humain malade.

En conclusion, un médicament générique c’est un peu comme la copie d’un grand parfum... cela n’est pas efficace très longtemps !