RÉPRESSION ROUTIÈRE : RÉAGISSEZ !

RÉPRESSION ROUTIÈRE : RÉAGISSEZ !

Demain, allons-nous encore pouvoir nous déplacer en roulant librement et en toute sérénité, sans se faire dépouiller par les "Archers" de ces malfaisants qui nous gouvernent.

Nous sommes un peuple soumis qui doit fermer sa gueule et payer, sous peine d’aller grossir les rangs de prisons qui débordent.

Les radars sont de vicieux objets sans âme et qui ne posent aucune question. Ces boîtes à images fleurissent le long des périphériques, autoroutes et routes de nos départements. Douce France... où es-tu passée, toi le pays de l’insouciance par excellence ?!

Lorsque j’étais élève-gendarme, on nous apprenait qu’il fallait faire de la prévention avant de faire de la répression. On nous disait qu’il ne fallait jamais se cacher. Un contrôle de vitesse devait se faire uniquement en ligne droite et par temps clair... jamais dans une descente ou à la sortie d’un virage. Le contrevenant était arrêté par un élément d’interception qui était à l’écoute de l’élément de contrôle. On prenait une déclaration écrite et l’auteur de l’infraction reconnaissait ou pas les faits reprochés et devait signer au carnet de déclaration.

Aujourd’hui, on ne discute plus avec personne... on nous demande même de payer avant de contester.

Ce comportement est inqualifiable et bientôt nous irons en prison avant d’être jugé.

On nous pille, on nous rançonne, on nous ponctionne... et notre généreux Président, armé de ses sbires qui ne sont que des pantins, prétend que nous vivons dans une démocratie et en un beau pays libre. Mais ce Gouvernement-là, comme les autres d’ailleurs, se fout de notre gueule et ampute nos salaires, donc notre pouvoir d’achat. On commence même à emmerder, à Paris, les cyclistes "vélibiens".

Quatre vingt dix euros à payer rapidement (avant augmentation) pour un jeune homme qui roulait à 58 km/h pour une vitesse autorisée à 50 km/h, avec une marge de 3 km/h... soit 58 km/h pour 53. Sans compter les points retirés sur le permis à points que notre pays a connement accepté. Nos gouvernants n’ont plus d’autorité et sont devenus des individus sans couilles, à la botte du dictat européen.

Où va s’arrêter ce carnage, quand va-t-on cesser de nous dévaliser. Notre salaire n’est pas fait pour engraisser les caisses de l’Etat et payer tous ces faignants de politiciens qui nous bastonnent, pour mieux nous laver le cerveau et nous enfiler sans que nous puissions réagir.

Alors quoi faire, me direz-vous ? A vous de le savoir et de vous prendre en charge... vous n’êtes plus des "bébés" et nos valeureux ancêtres nous ont déjà montré le chemin de la révolte.

En tous cas, il est inutile de vous en prendre aux représentants de la Loi, qui font leur métier (comme vous le vôtre).

Si l’alcool et la vitesse sont de graves fléaux, nous ne sommes quand même pas criminels lorsqu’il nous arrive d’avoir le pied un tout petit peu lourd... tout en restant dans les limites de l’acceptable !

Roulez-vous à 50 km/h, Mesdames et Messieurs du Gouvernement, lorsque vous traversez Paris avec votre belle escorte... au risque d’écraser un de nos enfants ou un de nos petits vieux. Vous aussi, êtes dans l’illégalité la plus totale. Il est beau votre sens de la justice et de l’impartialité ! Votre République ne vaut pas mieux que la Royauté d’antan... les privilèges sont toujours aux mains de ceux qui nous dirigent.

Ces contrôles en tous genres portent des atteintes non négligeables à notre liberté de circuler sans contraintes. On ferait mieux d’emmerder ces voleurs à la tire qui rendent nos rues, nos métros, nos bus et nos trains de moins en moins sûrs... au lieu d’enquiquiner les braves gens qui se rendent à leur travail, pour aller chercher l’argent qui leur permettra de nourrir honnêtement leurs familles. On porte atteinte à notre dignité de citoyen, mais nous ne tarderons pas à envahir les somptueux Palais de l’Etat dans lesquels vous vous cachez pour échapper à la colère de la rue. Cette "rue" se doit de reprendre le pouvoir qui appartient au peuple et pas aux représentants élus (avec un taux d’abstention incroyable, qui n’est jamais pris en compte et qui est le signe flagrant d’un grondement qui monte). Vous nous dégoûtez de la politique, parce que vous êtes incapables de gouverner sans brandir la matraque de la main droite, en ouvrant le tiroir caisse avec la main gauche. Tremblez "salopards" car la fin de votre règne va bientôt sonner et nous irons reprendre ce qui nous a été dérobé, par vos mains scélérates. Vous n’êtes que des "bandits légalisés" par les textes que vous pondez sans cesse pour vous protéger... mais nous ne serons plus vos poules aux oeufs d’or... nous allons redevenir de vrais dragons !