Je me dis qu’il s’est battu pendant des années, comme un beau diable, pour en arriver là et je suis un peu jaloux de sa réussite puis de son rôle qui lui va à ravir.

Un Président de la République, plein d’enthousiasme comme lui, ne peut que nous inviter à prendre la vie du bon côté. Je comprends, à présent, son message qui consistait à dire qu’avec lui tout devenait possible. Cet homme aime la vie, à n’en pas douter ! Sa joie communicative qui fait plaisir à voir. Aujourd’hui je regretterais presque de ne pas avoir voté pour lui !

Je préfère le savoir avec Maud plutôt que de le voir s’occuper de la politique Africaine… cela me rassure et me détend. Après tout, je pense qu’il n’est pas méchant, comme on le prétend. Il prend son rôle très au sérieux et met à l’honneur nos sportifs, puisque lui-même court un peu et connaît l’effort du dépassement de soi.

Qui n’aimerait pas être à sa place dans des moments comme ceux-là où un Président de la République montre sa fierté de diriger un si beau pays comme le nôtre, plein de personnes qui défient les éléments pour rehausser notre honneur.

Ah ! La mer qu’on voit danser, le long des golfes clairs (comme le chantait le grand poète Charles Trenet) nous invite à penser que le monde n’est pas si moche qu’il en a l’air et que tant qu’il y aura des “Sirènes Fontenoises” sur les océans du Globe… tout espoir n’est pas perdu de sauver ce monde !

Et si Nicolas Sarkozy consacrait son budget de la Défense à "sponsoriser" des bateaux plutôt que de les armer, on l’aimerait encore plus notre Président. L’effort de guerre vu comme çà, moi je suis client !

Je sais qu’il est un homme de goût et la beauté de son épouse Cécilia en est la preuve flagrante.

Merci à toi Ma Chère Maud car tu viens de nous rendre notre Président plus sympathique et surtout plus humain.

Un vieux dicton dit que celui qui n’aime pas les bêtes, n’aime pas les gens. En aucun cas cette phrase ne peut s’appliquer à notre Nicolas car s’il succombe aux charmes des sirènes comme toi… il ne peut qu’avoir de l’amour pour nous et je te jure que nous lui rendrons bien.

Je te propose non pas un tour du monde en 80 jours comme notre bon Jules Verne nous le racontait, mais plus tu partiras pour nous mieux revenir et plus notre Président sera heureux… et nous aussi, pour les cinq ans à venir !

“C’est çà la France !” comme le disait Louis de Funès dans “Rabbi Jacob”.