Pourquoi Bertrand Cantat a t’il frappé Marie Trintignant ?

Qu’est ce qui t’as pris Bertrand ? Tu permets que je t’appelle Bertrand ? Je sais que tu as un groupe formidable, qui marche et qui vend, je comprends qu’avec un prénom comme le tiens on peut se sentir frustré et en mal de vivre mais tout de même s’en prendre à Marie. LA Marie. Pas celle des saintes écritures qui emmerde tout le monde, ni celle plus petite de Francis Cabrel qui pollue mes oreilles sur Radio Nostalgie.

Mais la fille de Jean-Louis ! La muse de Pierre Salvadori ! La femme de « Comme elle respire », celle qui, dans une vie bien faite, aurait dû se maquer avec Guillaume Depardieu qui est peut être ce qu’il est (la jambe en moins) mais qui ne frapperait sûrement pas une femme (comme je me le dis souvent, on est pas tous le fils de son père). Celle qui a une voix de velours et un regard de pêcheresse. Celle qui ferait mieux d’aller coucher avec des agrégés de théâtralités plutôt qu’avec de la fripouille rock n’rolleuse, car on le sait bien le rock est dur et les écrits restent.

Mais toi Bertrand de mes deux, comment peut-on en arriver à vouloir buter une si jolie personne ? Même sous l’emprise de narcotiques tu charries des rondins de balourdises. Je te l’avoue, nous avons tous eu l’envie de cogner un bon coup sur la femme de notre vie. Par faiblesse, par paresse mais surtout parce que l’on ne va pas piétiner des roses dans un jardin, on ne l’a jamais fait. Je dis pas que la pulsion n’existe pas. Je dis qu’il faut savoir s’arrêter avant. Comme le train.

Jeux de mains, jeux de vilain. Tu ne mérites pas de pardon. Ne vas pas chercher des excuses sur la position de la table de nuit qui a heurté son si joli front. Ni que c’est elle qui a débuté la chamaillerie parce que tu n’avais pas relevé la margelle des chiottes en allant pisser. Je crois que sur l’échelle des ignominies tu figures tout en haut. A l’extrême si tu voulais vraiment faire un carton de chairs, tu te devais de trouver meilleur punching-ball ; je sais pas moi, au hasard : Céline Dion, Evelyne Thomas, Sophie Marceau.

Remarque, c’est fatal qu’avec un groupe qui s’appelle Noir Désir, tu aies des désirs noirs, mais jamais au grand jamais tu n’aurais du baffer une si magnifique Marie pleine de grâces.

Je souhaite vivement qu’elle se remette de ton flic-flac et qu’elle puisse t’en mettre une en pleine tronche. Bisous Marie.

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PS : je sais de source sûre que Jeanne Balibar sort bientôt un album réalisé par Rodolph Burger. Attention Rody ne touche pas un cheveu de la splendide Jeanne ou sinon tu auras affaire à moi.

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