C’EST BIENTÔT LE MOIS DE MAY

C'EST BIENTÔT LE MOIS DE MAY

Dès qu’arrive le joli mois de mai, voilà qu’un souvenir renaît en moi et mes pensées s’envolent vers la splendide et mystérieuse Mathilda May qu’on ne voit pas assez souvent à mon goût.

Mathilda est une beauté sauvage à l’élégance racée et gracieuse… comme toutes les danseuses.

Où est passée Alice, cette jeune princesse de l’espace qu’elle incarnait dans « Namo » de Arnaud Sélignac.

Cette actrice a un talent énorme qui a été récompensé, en 1988, par le prix Romy Schneider (César du meilleur espoir féminin).

Nous avons pu la revoir, il y a plusieurs semaines, chez Ruquier dans « on a tout essayé » et depuis je suis hanté par cette merveilleuse créature qui m’inspire en m’invitant dans la ronde folle d’une délirante écriture. Si j’étais son mari, je lui parlerais de la sorte :

MATHILDA, REINE DE MON CŒUR

Mathilda, seule souveraine,

De mon cœur, tu es la Reine,

Impératrice de l’amour,

Je t’aime et te veux pour toujours.

A travers les âges, je t’ai longtemps cherché,

J’ai dû me battre et lutter pour te protéger,

Puis j’ai soudain perdu ta trace, ton chemin,

Ne me laisse plus seul et donne- moi la main.

Tu es mon âme, ma moitié, reine de mon cœur,

Je suis à tes côtés, plus besoin d’avoir peur,

Je suis ton Ange Gardien qui veille sur toi,

Plus aucun humain ne t’emmènera loin de moi.

Tu as eu mal, tu as souffert,

Ton cœur est un grand livre ouvert,

Je vais panser tes blessures,

Pour que ton Ciel devienne azur.

Je suis ton Chevalier, ton Guerrier Samouraï,

Défendant ta vie sur le champ de bataille,

Prêt à mourir, s’il faut que tu sois sauvée,

Je donnerais ma vie pour ton éternité.

Fort d’avoir retrouvé ma Princesse d’Amour,

Je veux draper ton corps du plus fin des velours,

Puis couronner ta tête des lumières de l’Amour,

Belle et Grande Déesse de la plus Haute Cour.

Je verserais sur tout ton corps,

Toutes les perles de l’aurore,

Mêlées aux délicats parfums,

Imprégnant l’herbe du matin.

Déposant dans me main les huiles parfumées,

Je caresserais la peau de ma divinité,

Pour que tu puisses, comme l’étoile, briller

De toute la splendeur de ton immensité.