J’ai testé pour vous Lorana/Bianca, Escort Girl à Paris !

J'ai testé pour vous Lorana/Bianca, Escort Girl à Paris !

Putain, je l’ai fait. Quelques mois d’économie scrupuleuse, la moitié de la somme payée par « Le Mague » avec fiche de frais à l’appui, et pis voilà, je me suis lancé. Je me suis offert dans un lit de soie une « professionnelle », comme on dit, mais pas n’importe quelle pute de gare... non, non ! un top canon de luxe, comme dans les films roses de RTL9 ou M6. Une « escort girl » selon l’appellation administrative des impôts, avec tous les accessoires qui vont avec son métier vieux comme le monde.

Un fantasme pour ados libidineux ou vieux monsieurs vicieux, des jambes à damner même un Olivier Chapuis, des fesses au galbe de fruit à point nommé pour moi et ma fougue « foutreuse ». Un délice pour esthète sans une once de vulgarité. J’avais gagné à la loterie du cul, l’impression d’avoir séduit ma super voisine de pallier, cette beauté inaccessible et hôtesse de l’air qui fait tourner les têtes de tous les hommes de mon immeuble de province et de la mienne en particulier (pas l’hôtel, la tête...)

Baiser aux frais de la princesse pour écrire un article sur le web est un expérience assez traumatisante. A la fois excitante et « débandante » pour tout vous avouer.
Mais c’est un vrai plaisir intellectuel, en tout cas, que je recommande chaudement. Une ivresse des sens aussi délivrée de vilaine possessivité, de jalousie, ou de conventions lourdingues de drague. C’est rapide, propre net et sans bavure. De plus, et sais pas si la fille a fait cela à la tête de son client mais j’ai eu droit à de grosses pelles bien saliveuses, et je m’en lèche encore les babines de plaisir.

Car trouver sa belle d’une après midi n’est pas bien compliqué. Ma brune aux gros seins (car une blonde eut été trop attendue ou lascive) reçoit même chez elle, ce qui est bien commode lorsqu’on a une femme et des maîtresses jalouses qui rentrent toujours à l’improviste ou qui fouillent les poches, les e-mails et les portables.
Bianca, je l’ai trouvé sur Internet grâce à son site web fort bien référencé et bien achalandé.

Chez elle c’était très joli, un peu bourgeois mais pas trop, avec des tons pastels et des meubles design. Je l’ai rejoins dans son arrondissement de la capitale du Vice, nous avions convenus d’une tenue sexy, j’avais bien précisé que je déteste les strings et que je la voulais en jupe noire très courte, chemisier blanc sans culotte ni soutien à gorge.
Elle était là à l’embrasure de la porte comme annoncé, plus jolie et pulpeuse encore que sur les photos de la galerie de sa maison virtuelle, de son catalogue charmant de chairs.

Nous avions convenu d’une heure « d’entretiens » réciproques, ce qui m’a coûté tout de même 400 euros. A ce prix-là et sous plastique savoureusement lubrifié par sa langue j’ai eu droit à autant d’attention et de sollicitation sexuelle que j’ai voulu. Au début, j’ai eu un mal fou à bander, l’émotion de la première fois sans doute, mais la brune latino ne s’est pas démontée, très calme, elle a été d’une douceur infinie pour mettre en réception mon membre d’ardeur caverneuse.

J’ai joui quatre fois. Elle au moins trois car je n’ose pas croire qu’elle ait simulé puisque j’ai fort bien senti ses contractions vaginales.

On a très peu parlé en fait, on s’est vouvoyé tout du long de ma hampe. Aucun mac ne m’a tabassé et j’ai passé un moment si délicieux que je crois que je vais offrir à mon petit beau-frère les services de cette fée de la pipe pour ses 20 ans.

Moi qui déteste le cunnilingus, je n’ai pas été obligé de me forcer à en faire un, ce qui est souvent le cas lorsqu’on baise une bombe qui est experte en fellation ou un top modèle en général (je dis cela par expérience).

Mon bon Nicolas Sarkozy, sévis où tu veux dans la rue mais ne touche pas aux putes de luxe. Merci d’avance. Ton ami Frédéric.

Le site officiel de Bianca

Le site officiel de Bianca