Peri Cochin

Peri Cochin

Périhane plus connue sous le diminutif de Péri est devenue une figure familière du petit écran grace à ses participations aux émissions de Laurent Ruquier. Brune typée, intelligente et sympathique, Péri Cochin, spécialiste en Arts et Architecte de métier est une chroniqueuse précieuse pour la télé et elle méritait qu’on s’intéresse à elle, plus en détail, sur Le Mague. Une interview de Cali Rise, comme on les aime ici.

1. Bonjour, Péri. Vous êtes née à Beyrouth et êtes arrivée en France à l’âge de 10 ans. Quels souvenirs gardez-vous de cette époque ?

Ceux de l’enfance en famille, de la langue arabe et du beau temps.

2. Peu de personnes le savent mais vous êtes architecte de formation. Est-ce que ce diplôme vous a servi à quelque chose ?

Oui : toute l’ouverture d’esprit que ces études apportent et l’intérêt porté aux autres.


3. Vous avez créé une société « La tarte aux bonbons » et inventé un dispositif permettant au sel de ne pas motter. Vous avez aussi signé de nombreuses licences de création de bonbons. Quel est le bonbon que je peux sucer et qui est né grâce à vous ?

Par exemple : les sucettes en pâte d’amande.

4. Comment êtes-vous passée du cabinet de votre mari à Michel Field puis à Laurent Ruquier ?

Juste le hasard de la vie, et l’envie de découvrir d’autres horizons.

5. Est-ce qu’il est facile pour une jeune femme aussi active que vous de vivre avec un mari de 10 ans son aîné ?
Que pense-t-il de vos tenues vestimentaires même si vous n’êtes pas la chroniqueuse qui use le plus de son décolleté ?

Il trouve cela très séduisant et normal.


6. Vous êtes maman de nombreux enfants. Quel est votre secret pour garder une silhouette aussi mince ?

Ca ça s’appelle le bol !! Je n’ai jamais fait un régime de ma vie, même pas après mes accouchements.


7. Pour faire son trou parmi l’équipe de Ruquier, il faut coucher ?

Certainement pas .... Sinon il faudrait nous dire avec qui... ? Car si c’est à Ruquier que vous pensez, vous avez loupé un épisode !

8. Il était question à une époque que vous produisiez des émissions de télévisions au Moyen-Orient. Vous pouvez nous en dire plus à ce sujet ?

Oui, je produis pour le MO : Tout le Monde en Parle, Un gars une fille, Vivement Dimanche, et Union Libre.

9. Pourquoi le Festival du Rire à Beyrouth en trois langues ? Une seule ne suffit pas pour faire de l’humour ?

Si bien sûr mais l’arabe n’a jamais figuré dans un Festival or c’est une langue pleine d’humour, et pour donner un aspect international : le français et l’anglais.

10. Est-ce que vous êtes obligée de rire à toutes les blagues de Ruquier sous peine d’être licenciée de sa bande dans le cas contraire ?

Bien sûr que non et heureusement, c’est une bande... pas une dictature.

11. Vous collaborez à de nombreux projets ou promotions chez les frères Costes (propriétaires de plusieurs restaurants en vue), aux éditons Ramsey et aux éditions JC Lattès. Est-ce que c’est à cause de cela qu’on vous surnomme la chroniqueuse prout-prout-chonchon ?

Non pas du tout, les différentes choses que vous citez sont déjà bien loin et n’ont rien avoir avec le côté prout prout . Ce dernier vient plutôt du côté BCBG que je trimbale et qui les fait marrer.


12. Chère Péri, je vous laisse maintenant le mot de la fin...

Merci pour vos questions, je vous souhaite tous les succès que vous méritez.
A bientôt j’espère.

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