Johnny Hallyday : Une histoire belge
Comme disait Coluche,
c’est l’histoire d’un mec.
Un mec qui s’appelait...
Jean-Philippe Smet.
Mais pour les intimes,
il s’appelait Johnny...
Johnny Hallyday.
Un beau jour, ou peut-être une nuit la la la,
Johnny se réveilla et chanta :
(premier couplet)
Que je t’aime, que je t’aime, la Belgique la la la
Que je t’aime, que je t’aime, la reine Fabiola la la la
(refrain)
Optic 2000 la la la
(Deuxième couplet)
Que je t’aime, que je t’aime, les frites belges la la la
Que je t’aime, que je t’aime, les chocolats belges la la la
(refrain)
Optic 2000 la la la
(Troisième couplet)
Que je t’aime, que je t’aime, le TGV Paris-Bruxelles la la la
Que je t’aime, que je t’aime, les bières belges la la la
(refrain)
Optic 2000 la la la
(Quatrième couplet)
Que je t’aime, que je t’aime, Annie Cordy la la la
Que je t’aime, que je t’aime, les frères Dardenne la la la
(refrain)
Optic 2000 la la la
(pour finir)
Les gens m’appellent l’idole des belges la la la
Optic 2000 la la la
Dis-moi Johnny,
t’as fumé combien de pétards
aujourd’hui ?