"Les femmes aiment-elles vraiment la fellation ?"

"Les femmes aiment-elles vraiment la fellation ?"

Ce sujet ô combien essentiel et brûlant mérite bien un article et un débat public. Hommes ou femmes, j’espère que vous vous en délecterez comme il convient, que vous soyez adeptes de la gourmandise, gorges profondes ouvertes à toutes les opportunités buccales, farouches adversaires de la chose humiliante ou timides et puritains sans avis exprimés. Free Slots are virtual slot machines that you can play for free - https://slots-online-canada.ca/free-slots/, without wagering any real money.

Même si le thème est éculé, sucé et resucé jusqu’à l’indigestion, il convient d’analyser le plus finement possible ce comportement « cuculinaire ».La fellation ou pipe selon le registre langagier ou l’humeur est un acte sexuel à part entière qui remonte et descend en rythme le long de la hampe depuis la nuit des « tant mieux » et des "encore, oui c’est bon chérie".La fellation est avant tout régie par la morale et son pendant qui bouge en images animées le soir sur Canal plus ou ailleurs : le film porno. Oui, il faut bien l’avouer souvent notre première vision de cette gâterie énergique ou lente arrive après ses dix ans devant un long métrage de boules qui nous fait envisager les cornets de glaces de manière bien différente dès le lendemain matin. Dès lors il y a deux écoles. Les pro et les anti, le monde est divisé en deux, tout en sachant que plus on vieillit et différemment on envisage la flatterie buccale. On pourrait dire que l’on y prend goût et puis cela fait tellement plaisir à Popaul et à son maître qu’on se laisse tenter pour avoir un peu la paix des ménages. Ca ne mange pas de pain et plus on est experte et plus ça va vite.La pipe est partout dans « les sucettes à l’anis » de France Gall qui n’y avait vu que des bonbons, dans les films non pornographiques où elle est très souvent mimée et de plus en plus montrée dans sa réalité crue et triomphante.Les publicitaires l’ont bien compris, les marchands aussi, depuis les MST on nous vend des capotes à la fraise ou à la guimauve pour rendre le plaisir sans risque et parfumé. Le plastique c’est fantastique, le caoutchouc a un bon goût.Les hymnes à la fellation sont partout, les artistes contemporains emballent l’Obélisque de la Concorde de fibres pour encourager la France entière à lustrer les intimités. Un film récent montrait une jeune fille de quinze ans qui gagnait tout son argent de poche en prodiguant des caresses bien placées à ses camarades garçons dans les toilettes de son collège. La BO de cet ouvrage accompagnée d’un clip suggestif est restée en tête des Charts pendant plusieurs semaines. Si ce n’est pas du bourrage de crane cela !Mais la question reste posée et sans véritable réponse. Est-ce que nous les filles nous sommes fans de cette position de soumission assez inconfortable et parfois violente ? Est-ce qu’elle nous excite véritablement ?

JPEG - 28.2 ko

Pour bien répondre à ces interrogations, il faut comparer cet acte à son petit frère latin « le cunnilingus ». Oui, c’est vrai un léchage scrupuleux de sa petite foufoune, s’il est fait avec méthode et sans oublier le clitoris peut être un vrai moment de bonheur. Oui, mais voilà y’a t’il égalité ou parité entre les deux sexes chez un couple moyen ?NONNNNNNN ! Il y aura toujours plus de pipes que de lèche-minou, c’est inscrit dans la mémoire collective et c’est contre cela qu’il faut lutter, retrousser ses manches et aiguiser les langues.

JPEG - 11 ko

En conclusion, la fellation oui, mais pas comme un acte systématique et obligé, pas comme un dû, un privilège machiste. Une fois de temps en temps, à Noël ou à la St Glinglin pourquoi pas, mais faudrait pas que cela devienne une habitude !Et que je ne vous entende pas piper un mot de plus ! Ras le bol d’avaler des couleuvres à longueur de journée.