Ainsi pour ne pas perdre mon temps en conversation sans objet, pour ne pas gaspiller ma salive à faire ignorer des choses à celle qui s’obstine à les appliquer, lorsqu’une impénétrable femme tronc se présente à moi, je ne manque jamais de lui soummettre mes réflexions de difficultés croissantes.
N’est-ce pas là d’ailleurs ce que dicte la plus élémentaire des délicatesses ?
Tout dyptique "culture expérience" qui, en même temps qu’un mode de structuration - par couches successives - nous indique la voie à suivre pour gagner en lucidité.
Tous ces triptyques-là nous donnent le sens de la marche.
Mais peut-on inverser si facilement la vapeur et lesvaleurs ?
Marche t-on mieux avec trois pieds ? Cinq, neuf ?
Et hop, à ce moment-là un pti lien sur le blog de juju L é tro simpa ; ))
Cherche t’on une solution acceptable aux difficultés que pose un grand problème, il convient de ne pas brusquer les choses.
Que cherche t-on d’ailleurs ?
Des clous ?
Une deuxième licorne ?
Des idées autour d’un mot ?
Pénétrer davantage une ouverture qui n’est parfois qu’une certaine manière de rassembler les idées autour d’un pot ou d’une attitude, ou d’une expression, etc.
De soi ?
L’autre est-il double ? Triple ? Quadruple ?
Un autre demi ?
Mais ne simplifions pas.
Pour éviter de se trouver submergé par des litres de documents manucurés à la hâte, procédons (ou ne procédons pas) comme suit : (ou comme suie)
DANGER NUMERO 1 :
La dispersion qu’engendre tout déplacement et qui fait que les impressions succèdent aux impressions.
SOLUTION A :
TROUVER UN POINT D’INTERET :
Plongé dans la conversation courante le privilégié de la connaissance a vite fait de déplaire.
exemple :
Nietzche ?
Non. Amélie Poulain.
INTERLUDE :
Cherry n. m. Liqueur de cerise (on dit aussi Cherry Brandy)
Cherté > cher 2
Chier > action de chier
> CONSTAT d’ECHEC.
CHAPITRE 5 : préambule : RELATIONS, DELICATESSE et DOUTE : vers une certaine disparité.
Des relations (vous vous en doutez) délicates en raison de la disparité des deux partenaires en présence - extrême simplicité d’un côté, infinie complexité de l’autre - des relations au sujet desquelles les quelques idées
simples qui suivent paraîssent indispensables :
QUELQUES IDEES SIMPLES : (c’est bien parce que c’est vous)
Animal et homme, corps et esprit, instinct et intelligence, cerveau reptilien et néocortex ....
Autant d’oppositions, autant de façons d’esquisser des questions fondamentales.
Par exemple :
Vais-je vous pénétrer ?
Vous faire jou (i) r ?
Vous percer ?
Vous inonder de joie ?
Face à ces qu’est-que cet’ion gorgés de vie et d’espoir LA REPONSE/RATEAU attendue,courtoise, funeste oppose son groin :
Pas ce soir.
Je me lève demain
Tu plaisantes !?
INTRODUCTION / LE TABELO NOIR :
Tout d’abord vous conviendrez (j’en suis sûr) d’une première position que je ferais volontier mienne (ou votre) et ce dans un premier but d’éclaircir notre TABELO (noir)
LE TABELO NOIR APPELLE LES EQUATIONS :
TABELO : - équations ! équations !
Les relations instincts/néocortex seront envisagées sous l’angle d’une émancipation progressive - maiiis oh combien relative - du second par rapport au premier.
Quelque-unes des questions posées seront dans un premier temps - soucieux de votre santée mentale et, car, il ne peut y avoir de positionnement sans questionnement fut-il futil au préalable, les suivantes :
désir ? caresses ? sodomie ? machage des lobes et tétons ? Becassine est-elle ma cousine ? Pluto habite-il trop loin d’Eurodisney ?<
(le ciel se couvre il est temps d’aborder :)
CHAPITRE 12 - le néocortex (pour tous)
Peut-il réellement s’affranchir de la tutelle des instincts ?
A quelles conditions ?
Dans quel registre ?
Jusqu’à quel point ?
Avouez Justine, que tout s’oppose à ce que cette question soit convenablement posée.
Et convenez qu’à ce stade toute relation fut-ce même sexuelle est inenvisageable.
(pour l’instant,...ne soyez pas bête !)
Résumons (tout en se reposant) :
Attitudes, gestes, mouvements et non mouvements, replis sur soi, danseurs, "estropieds", handicapés, orateurs, poétes, Pluto, charmeurs de vipères, comédiens, artistes véritables, véritables artistes, prestidigitateurs, DJs, dessinateurs, sculpteurs dubitatifs,
musiciens, bruiteurs, doubleurs, cuisiniers, cultivateurs, ramoneurs, animateurs, ventilateurs etc ...
Sans oublier quelques donnée acquises :
La mort, la vie, l’augmentation du prix, l’amour, la grippe, le mais transgénique, Mickey 3d, etc.
Quelques objets aussi :
La montre à Quarkx, l’Ipod, le téléphone portable, France Télévision, le DVD, le cuit-vapeur , le patch anti-tabac etc etc...
et vous Justine...
Tellement en forme !
Et cette voix d’hôtesse de l’air recalé au club sandwich !
Tout ce désir, tous ces désirs qui font de moi un chocolat de grande origine, s’effondreraient sur tes gros nénés bleus de peur ?
Et sans la moindre solution de replis ?
Allez-vous me proposer un verre de lait de soja aprés l’amour ?
Nous serions comme dans un lac de lait ?
Eh bien non. Niet !
Déchiré entre la complexité de son encéphale et l’unité qu’exige toute initiative, entre les données inombrables dont il dispose et la necessité de n’en retenir qu’une seule, la sillure cherche constamment à simplifier les choses et à les unifier.
Donc et puis, alors cependant, finalement, tout à coup, ainsi :
Justine, O déesse des brèves pressions si extrêmement inflammables !
Mon corps au pied !
Qu’attendez-vous de moi ?
Dois-je rafraîchir et parfumer agréablement votre maison, tout en détruisant les mauvaises odeurs ?
Dois-je éviter tout contact avec vos yeux et votre peau ?
Adhèrerai-je parfaitement à vos parois et resterai-je efficace même sous l’eau ?
Non non n’insistez plus je vous en prie, je vous sens déjà loin...
Vous me fuyez ?
Voulez-vous me fumer ?
Savez-vous au moins que le processus par lequel une chose, une situation peut servir d’experience est celui qui la libère de tous les scories qui la rendent communicative au niveau de notre langage ?
Scories académiques, dues au snobisme et à l’habitude font, en effet, qu’aprés une certaine période, une expérience claire perd sa couleur et sa consistance.
Donc plus la situation est donnée dans son étrangeté, privée de relations, plus la force devient importune, alarmante, profonde et vivante.
je vous désire Justine, avec vous j’ai envie de gros sexe, je veux engranger ma fourche dans votre utérus comme un bon gros cultivateur de maïs transgénique, je veux mettre ma grosse langue dans ton nez !
Et si tout se passe mal nous aurons un bébé-tronc et nous l’appellerons Blog !
Et tout cela pas pour de vrai !
bisous ;))))
Luc DS
Paris, Octobre 2005