> Exclusivité : Interview de Simone, la soeur de PIERRE CHANAL
15 juin 2006, 10:49, par MISHKA
Et moi aussi,qui me disent que l’armée n’a pas attendu vos palabres pour s’introduire dans l’enquête et faire en sorte d’écarter toutes responsabilités et écarter les curieux, dés 1985, en fesant en sorte que la police judiciaire n’intervienne pas dans cette affaire. Déjà, en 1985, le SIRPA (service d’information et de relations publiques des armées)prennait en charge la communication de l’armée avec la gendarmerie, ce qui voulait dire qu’il y avait des choses à cacher (les moeurs dans la caserne de Mourmelon et d’autres ?)
En 1994, quand plusieurs militaires de hauts-rangs furent mis en évidence pour leurs participations à des réseaux sado-masochistes, le SIRPA étouffa rapidement l’affaire, et comme par hasard,on décida de nommer le colonel Mouillan comme commandant de légion de Champagne-Ardenne, qui déjà était chargé en 1985 des relations entre la gendarmerie et le SIRPA, à qui veut bien m’entendre, vous connaissez la suite...
Et moi aussi,qui me disent que l’armée n’a pas attendu vos palabres pour s’introduire dans l’enquête et faire en sorte d’écarter toutes responsabilités et écarter les curieux, dés 1985, en fesant en sorte que la police judiciaire n’intervienne pas dans cette affaire. Déjà, en 1985, le SIRPA (service d’information et de relations publiques des armées)prennait en charge la communication de l’armée avec la gendarmerie, ce qui voulait dire qu’il y avait des choses à cacher (les moeurs dans la caserne de Mourmelon et d’autres ?)
En 1994, quand plusieurs militaires de hauts-rangs furent mis en évidence pour leurs participations à des réseaux sado-masochistes, le SIRPA étouffa rapidement l’affaire, et comme par hasard,on décida de nommer le colonel Mouillan comme commandant de légion de Champagne-Ardenne, qui déjà était chargé en 1985 des relations entre la gendarmerie et le SIRPA, à qui veut bien m’entendre, vous connaissez la suite...
Voir en ligne : Un bon tuyau à te donner...